Aller au contenu

Page:Sénancour - Rêverie sur la nature primitive de l’homme, tome 2.djvu/87

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
bon… …ne pas achever (Ibid., 57-59). Chez les

[187]

peuples policés, l’ignorance de la durée… | …ne
dérange rien (Ibid., 60-66) : quand elle vient anéantir
tout-à-coup vos projets, ils ne sont plus à vous (Cf. thème,
Ibid., 66-67). Il est vrai… …plus de mal (Ibid., 67-
72) relatif ; il me semble… …cela me suffit (Ibid.,
73-76). Je suis heureux, si je sais ce qui doit être : je le
suis… …et la sécheresse (Ibid., 76-78) ; à nos
corps… …ne l’ait pas. (Ibid., 79-86).
Les biens naturels sont assez grands ; l’essentiel est seulement

[188]

de réduire les maux à peu de chose. | Mon peuple
aura une terre isolée qui lui permettra de rester indépendant
de lois étrangères. Un ciel favorable rendra la culture
facile, et les besoins bornés. La nation sera suffisamment
bien. Quant aux individus, outre que c’est déjà
beaucoup d’être membres d’un corps bien ordonné, n’auront-
ils pas l’amitié, seul bien terrestre qui puisse entretenir
en nous quelque notion d’un bien impérissable ?
Comme on n’y connoîtra pas les amertumes de notre vie,
l’amitié parfaite y sera moins sublime peut-être et
moins délicieuse ; mais aussi elle y sera beaucoup moins
rare. Ici c’est le partage des seuls hommes de bien ; là,
presque tous en jouiront.




TRENTE-TROISIÈME RÊVERIE

[189]


Le nombre est… | …et des devoirs. (Ob. XLVII,
127-139).
L’étendue, les forces,… …œil admirablement
préparé. (Ibid., 87-107).