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NOTES D’UNE FRONDEUSE

OPINION
DE
LUCIEN MILLEVOYE


« — Je pense, dit M. Millevoye, dans une conversation dont nous citons des fragments, que si l’auteur des articles du Figaro était, comme on le dit, un des anciens amis et collaborateurs du général, ce serait un manquement à l’honneur que devrait flétrir la conscience de tous les partis. »

(La Lanterne, 28 août 1890.)