MANUSCRITES ET IMPRIMÉES. 36q
iVIME DE OEVICKE. XI 3/J
t remontant), le copiste a écrit: ̃̃
« la princesse parott peut-être
sentir quelque disposition; et
au lieu de « le poids de sa
jalousie » (p. 157, 8° ligne), il
a écrit « le prix de sa ja-
lousie. »
453 Mser. Grosbois, p. 583 la pre- Perrin: (1734) III, 3i;f {175.)
mière page de la lettre, jusqu’à 111,256.
« je grondai qu’on ne m’eût
pas avertie » (p. 161, 2* ligne). )
,54 Perrin (1734) III, 38;f (1784)
> 111, 26a.
455 Copie de Bussy A, I, 25q. Co- f 1697, I, 187. 1818, IV, 28.
pie de Bussy C, £° 148
456 I Rouen (1726), II, I2i. i ha
Haye (1726), II, 245. Per-
rîn:t(i734)UI, 43; 1(1754)
m, 267.
457 Mscr. Grosbois, p. 1009, moins f 1726, p. 56. tB-ouen (I726)>
10 les trois alinéa qui commen- 11, l3l. f La Haye (1726),
cent à « Je suis fort aise que •̃ II, a5l. Perrin f (1734}
vous ayez remarqué » (p. 181), ni, 5i f (1754) III, 274.
et finissent à « On me mande
que le fils de M. de la Rochefou-
cauld » (p. 182) exclusivement;
2" la fin de la lettre, à partir de
l’alinéa qui commence par r « Je
suivrai votre avis » (p. i85).
Au Heade « Mme de Tarente »
(p. ï82,3sligneen remontant),
le copiste a écrit « Mme de la
Tarente. »
458 Copie de Bussy A, I, 263. Co- f 1697, I, 191. Supplément
pie de Bussy C, P loi V. dis Bussy, II, 206. f 1818,
IV, 3i.
460 Copie de Bussy A, I, 270. 1697,1,195.
461 Perrin, (1754) III, 287.
462 | Mscr. Grosbois, p. 189, moins le Perrin f ([7J4) 111,64; t (l?S4)
dernier alinéa (voyez la note 14 L III, 295
de la lettre). Les mots « vien-
droit voir. J’y fus diner le len-
demain; elle me » (p. 202,
lignes 2 et 3), manquent dans le
mser. Au lien de « m’entre-
tint » (même page, 3. ligne),
on y lit: « m’entretient. » Le co-
piste, au lieu de « On a pris,
vingt-cinq ou trente hommes
que l’on va pendre (p. 202,
7e ligne en remontant), a écrit t
« On a pris. vingt-cinq on
trente hom mes quel’on va pren-
dre; » et aulieu de « ils ont
des soins de moi ridicules »