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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 107

VI, 353 et 354. Il passe quinze jours à Dijon, VII, 442. Mme de Sévigné trouve qu’il s’est montré bon pour sa fille le jour où elle renversa des pistoles au jeu du Roi, VII, 449 et 45o. Son père prend la maladie dont il meurt, en courant à Fontainebleau pour l’empêcher d’y garder la duchesse de Bourbon, qui y a la petite vérole, VII, 53o. Il devient prince de Condé son affliction de la mort de son père, VIII, g. II fait faire à son père de magnifiques funérailles, VIII, 3o. On n’a rien écrit sur son père qui lui plaise il dit qu’il donnerait volontiers mille écus pour quatre vers qui lui plairaient, VIII, 78. II tombe la chasse et se blesse légèrement, VIII, 134. Observations que lui adresse le Roi sur la négligence de Saintrailles, gouverneur du duc de Bourbon, et sur ce qu’il admet ce gouverneur dans ses carrosses, VIII, x35 et i36. II pleure à la représentation d’Est lier, VIII, 436 et 437.Il soutient un procès contre les testaments de Mlle de Guise, VIII, 53a, 542 et 543. Il préside les états deBourgogne; bon accueil qu’il fait à Bussy éloge que fait Bussy de son esprit, X, 5o-52. Il reçoit bien le compliment que lui fait Bussy sur le mariage de sa fille, Mademoiselle de Charolais, X, 82.

Cokdé (Anne de Bavière, d’abord duchesse d’Enghien, puis princesse de), femme du précédent, fille d’Edouard de Bavière et de la célèbre Palatine, II, 14; III, 400 IV, 28 VIII, 478.

Elle n’est pas présente à des fêtes que son mari donne pendant le’ carême, III, 11. Elle perd sa fille; un de ses fils va, dit-on, mourir; sa mère est malade son beaupère et son mari sont à la guerre: sa tristesse, III, 462 et 463. Elle perd un de ses fils, III, 476 IV, 28. Elle accouche d’une fille, IV, 91. Compliment gracieux que le Roi lui adresse à l’occasion du mariage du prince de Conti avec Mademoiselle de Blois, VI, 157. Ses toilettes pour le mariage du prince de Conti, VI, 200 et 201. Baptême d’une de ses filles, VI, 264 et 255. Elle est marraine du petit prince de Léon, VI, 261. Sa bonne influence sur la princesse de Conti, VI, 5aa. Elle soigne la duchesse de Bourbon, qui a la petite vérole à Fontainebleau, VII, 53o. Mme de Sévigné la voit chez Mme de la Fayette, VIII, a3i. Langlée lui donne à souper, X, 263.

Cokdé (Anne-Marie-Victoire demoiselle de), fille des précédents. Voyez MONTMORENCY (Mademoiselle de).

CONDÉ (la famille de), II, 353. Cohdè (l’hôtel de), 11, 39, 171, 172, 206; III, ri, roq, 253, 455; V, 2x4; Vï, 34, 172, 200, 208 VII, 419; VIII, i32. Le nom de Bussy ne peut pas encore y être prononcé, V, 55o. On y donne une fête magnifique pour le baptême d’une fille du duc d’Enghien, VI, 254 et 255. Ce qu’écrit Mme de Sévigné aurait été digne d’y être lu du temps de Voiture, VIII, 5r. Condé, maison de plaisance de