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Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/149

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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 143

tes, puis duchesse de Bourbon, puis Madame la Duchesse, III, 345, 358; IX, 70.. On ne la voit pas encore à la cour, III, 365. Mme de la Sablière va être nommée sa gouvernante, VII, 78. Son prochain mariage, VII, 38 1. Mme de Moreuil est nommée sa dame d’honneur, VII, 396, 418 et 419. Sa noce, VII, 435 et 436, 438. Elle a la petite vérole à Fontainebleau; le grand Condé y court avec une diligence qui lui coûte la vie, VII, 529 et 530. Elle accompagne le Roi à Luxembourg, VIII, 36. Elle va au-devant du Dauphin, VIII, 290. Coulanges la préfère à toutes les autres princesses; il va très-souvent chez elle; S, i83 et 184. Elle est d’un grand souper donné par Langlée elle est la reine de la fête, X, 263. Mme de Grignan assiste à sa toilette, et en fait le récit à Mme de Simiane, X, 426 et 427. Enghien (Mademoiselle d’), Anne de Bourbon, filje de Henri-Jules duc d’Enghien, petite-fille du grand Condé. Elle meurt à quatre ans et demi, III, 462.

Ekhesson ou Henkezon (dom), abbé de Saint-Mihel. Son a’f- fection pour le cardinal de Retz; il le gouverne; éloge que fait de lui Mme de Sévigné, III, 472 et 423.

EmfEVAL (Mme d’). Raisons qu’elle donne de son second mariage, X, 449.

Éîtock. Allusion à son enlèvement, IV, n3.

Enrichemont (Maximilien-PierreFrançois-Nicolas de Béthune, prince d’), fils du duc de

Sully. Son mariage prochain avec Mlle de Coislin, VIII, 365, 459, 463, 5i3; IX, 9, 20. Querelle qu’il a au trictrac avec Barbantane, IX, 96

et 97.

E&’richemont ( Madeleine -Armande de Cambout de Coislin, princesse d’), puis duchesse de Sully, femme du précédent, *̃> 404- Son prochain mariage, VIII, 365, 459, 463, 5i3 IX, 9 20. Elle devient duchesse de Sully à la mort de son beau-père; on dit qu’elle a la petite vérole, X, 161.

Entkecasteaux (la terre et le château d’), appartenant au comte de Grignan, IV, 233, 447; V, 393; VI, 396, 420; X, i49 et i5o.

Envay, sur la côte de Gênes, X, 537, 538. ouisdeno-aret

Eperkon (Jean-Louis de Nogaret

de la Valette, duc d’). Mme de Sévigné lit sa Fie écrite par Girard, IX, 34, 326. Douleur qu’il éprouva quand il dut quitter son beau gouvernement de Provence, IX, 80.

Epekkok (Anne-Louise-Christine de Foix de la Valette d’Épernon, appelée Mlle, ou plutôt, comme dans deux autographes de 1690, tome IX, p. 499 et 529, Mme d!), sœur du duc de Candale, et petite-fille du précédent. Mme de Sévigné la revoit religieuse aux Carmélites, et la trouve horriblement changée, VI, i75. Sans l’aide de Mademoiselle, Mme de Sévigné ne l’aurait pas reconnue, VI, 216. On dit que Pauline, de Grignan lui a écrit pour savoir d’elle si Dieu l’appelait aux Carmélites, IX, 487, 499- On l’approuve de continuer à observer les usages