Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/164

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i58 TABLE ALPHABETIQUE ET ANALYTIQUE

Il perd beaucoup en perdant la Rochefoucauld, VI, 3ia. Il obtient un régiment, VI, 38i, 418, 43g. Il est à l’armée avec le marquis de Grignan, et donne de ses nouvelles, Vin, 204 » 207 il dit du bien de lui, VIII 287, aga, 454 i il s’intéresse à lui, et donne à son sujet un sage avis au chevalier de Grignan, VIII, 317, 4ig. Il est fort bien à Brest, IX, 148. On parle de son mariage avec Mlle de Marillac avantages de cette union sa mère lui assure tout son bien, dont elle ne garde que l’usufruit, IX, 20.5, 226. Son frère, l’abbé, lui assure aussi le sien; raisons qui font de lui un très-bon parti, IX sali. Préparatifs que fait sa mère pour sa noce, IX, 3a8. Ilvient de se marier sa femme est fort éveillée et fort jolie, LX, 354. Sa mère doit être heureuse de l’avoir mis dans f une si grande et honorable alliance, IX, 378. Reconnaissance qu’il éprouve, ainsi que son frère, pour elle, IX, 474* Il meurt son nom, que sa mère avait tant désiré relever, ne sera plus que sur la tête de sa fille unique ;son testament, qu’il a fait par les soins et du vivant de sa mère, est désavantageux pour sa femme, X, 186. Fayette (Jeanne-Madeleine de Marillac, marquise de la), femme du précédent. Son mariage, IX, ao5 226, 354. Description de la chambre magnifiquement ornée où elle re-

çoit, sur son lit, ses visites de mariage, IX 3yS. Elle a plu à Versailles, et même au Roi, IX, 428. Elle a fait une fausse couche huit jours après être accouchée, X, 58. Elle perd son mari, et en a d’abord beaucoup de chagrin mais la lecture de son testament, qui lui est désavantageux, a console X, 186. Dette de dix mille livres de Mme de Sévigné envers elle (?), X, 418.

Fayette (Marie-Madeleine Motier de la), fille des précédents, X « 58. Sa grand’mère Mme de la Fayette, dit qu’elle louche commeMme de Grignan louchait dans son enfance X, 62. On a failli l’enterrer toute vive, X, 172. Son père meurt; il n’y a plus qu’elle pour soutenir le nom de la Fayette, X, 186.

Fayette (Jacques Motier de la), chevalier de Malte, beau-frère de Mme de la Fayette, III, 194 (?) IV, 335*, 453 (?) 463 (?)*.

Fedé, médecin. Son avis sur la maladie de l’abbé Têtu, VIII, 397.

Félicité [le palais de /a), nom que Mme de Coulanges donne au château de Grignan, X 181. Fémx ( Charles-François ) premier chirurgien du Roi IV 141.

Félix DE Tassy (Charles-François), fils du précédent, à qui il succéda en 1676 V 287. Il saigne M. de Niel et lui coupe l’artère, IX, 255.

tome IV, p. 4p3 et 463), était encore bien jeune, et il serait fort possible qu’à ces endroits il fut question du beau-frère de Mme de la Fayette, dont l’article vient ci-après.

i. Voyez la note précédente.