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160 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

sa femme a, dit-on, fait contre lui, V 499. Sa ressemblauce frappante avec le P. de la Ferté, son frère, X 384. Ferté (Marie-Isahelie-GabrielleAngélique d’abord appelée Mlle de Touci marquise puis duchesse de la ) troisième fille du maréchal de la ûïothe– Houdancourt femme du précédent. On parledu travail affreux dans lequel elle se trouve depuis plusieurs jours, V, i33 et 134. On chante dans larue un couplet qu’elle a fait, dit-on, contre son mari, V, 499, 5oa. La Dauphine aceueille mal une plaisanterie qu’elle veut faire, VI, 33o. On s’étonne que le marquis de Mirepoix épouse sa fille qui est un pauvre parti pour lui, VIII, 358 et 35g.– Comment elle- s’y prend pour conclure ce mariage, VIII, 404 et 4o5. Ce mariage disproportionné est généralement désapprouvé; mesures qu’elle prend, discours qu’elle, tient à cette occasion, VIII, 4ic) et 42o, 446, 459. Elle vient chez le cardinal de Bouillon, X, 182.

Febté (Bille de la). Voyez Mieepoix{Marie-Angélique de SaintNectaire la Ferté, marquise de). FEKTÉ(Catherine-Louise de SaintNectaire la), plus tard marquise de la Ferté, seconde fille du duc et de la duchesse de la Ferté, VIII, 4o4 et 4o5.

Ferté (le père Louis de la), second fils du maréchal de la Ferté. Il prêche avec le plus grand succès; on dit qu’il a obtenu de ses supérieurs la permission d’aller au Canada, X, 369 et 370, 379 et 38o, 384. Mme de Montespan doit venir prendre Mme de

Coulanges pour aller l’entendre il prêche comme unBourdaloue sa ressemblance frappante avec le duc, son frère, X, 384.

Ferté-Milos (la ville de la), IV, 194 et ig5.

Feete-sur-Groske (l’abbaye de la). Coulanges la visite et l’admire, X, 517 et 5i8.

Feu (le). Voyez Brissàc ( Gabriel le-Louise de Saint-Simon, duchesse de).

FEUILLADE (Françoisd’Aubusson, duc de la) plus tard maréchal de France. Sa querelle avec le prince d’Harcourt, I, 407. Un Français tire sur lui, au siège de Valenciennes I, 410 et 41 r. -Il succède au maréchal de Gramont dans la charge de colonel des gardes françaises, II, 4°9- H est reçu, à la tête du régiment de ces gardes, et le Roi lui met lui-même la pique à la main, II, 455. On dit qu’il est blessé, III, 109. Il est lieutenant général du prince de Condé, et fait maréchal de France après la mort de Turenne, III, 538 et 53g. II prend la poste, vient remercier le Roi, et ne voit ni sa femme ni ses enfants; cela plaît fort au Roi, IV, 56. -Il doit se joindre au prince de Condé IV, 58. Lavardin lui donne le titre de Monseigneur, IV, i38. Un de ses parents est tué en duel par le fils du marquis de Janson, IV, 297 et 298. -Son propos sur Mme du Ludres, V, 467. II fait venir un bloc de marbre où l’on doit taillerla figure du Roi à cheval; ce bloc, arrêtant le carrosse dugrand Condé ,donne lieu à un combat entre les soldats qui le conduisent et les