Aller au contenu

Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/198

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

iga TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

de pair avec ceux de Mme de Louvois, X, 194. La fiancée du marquis de Grignan y est venue et y restera pendant trois ans après son mariage, X, 197. Coulanges rappelle qu’il y a célébré la Saint- Hubert, et l’appelle encore le Château royal de Grignan,li., 203. Les épithètes dont Coulanges l’a honoré feront sa gloire on dit qu’il est encore fort embelli, X, 26g. Le cardinal de Bouillon parle de l’accueil qu’il y a reçu à son retour de Rome, X, 272. Coulanges ne doute pas qu’il soit embelli et voudrait bien le revoir, X, 27S. Il demande qu’on y reçoive bien Mme de Pracontal, X, 36 et 36a. Mme de Grignan, après la mort de sa mère, songe à le quitter pour quelque temps, afin d’aller respirer un air moins sec, X, 391. Le comte d’Estrées y est venu, et y a trouve tout le monde dans l’affliction; il croit aussi que l’air en est mauvais pour Mme de Grignan, X, 3g2 On dit qu’elle veut y passer tout l’été, X, 395. Mme de Coulanges aimerait beaucoup à y venir, si cela était possible X, 461, 4gi. Mme de Simiane dit qu’elle n’aurait pas le courage d’y retourner, XI, 33. Voyez Apolidos. Grigkak (l’église de). Sa tribune, II, 279- Elle est fort bien desservie, X, 211.

Grïgnan (le chapitre de), IV, 5i3; IX, 2o3, 483; X, i54, 171. A-t-il rendu à Mme de Rochebonne les honneurs qu’il lui doit? V, 43. Il est beau et magnifique; il est une sainte et solide grandeur pour la maison de Grignan, à qui il a coûté

fort cher, IX, 490. Il croit être un des plus beaux de France, X, moi. Coulanges le trouve vénérable, et dit qu’en le voyant il a conçu du respect pour ses fondateurs, X, 211, 226.

Guignais (les chanoines de), II, 237.

Geigsah (le doyen de l’église collégiale de) probablement un Rippert (appelé Lausier, d’un nom de terre sans doute), V, 54; X, 187. Un de ses frères (voyez la. première mention qui suit), à peine de retour auprès de lui, meurt subitement dans ses bras, IX, 3;8 et 379. Mme de Sévigné se représente sa douleur pendant qu’il célébrait la messe des funérailles de ce frère, IX, 387 et 388. Elle soupire encore en pensant à lui, IX, 436. Coulanges lui-envoie ses compliments, X, 226.

Geignak ( Louis [de Castellane] Adhémar de MonteII, comte de) bisaïeul du gendre de Mme de Sévigné, reçu chevalier des ordres du Roi en i584, VIII, 304.

Grignas ( Louis-Gaucher [de Castellane] Adhémar de Monteil, comte de), père du gendre de Mme de Sévigné, Ij 53o, II avait à Grignan un train de maison moins coûteux que celui de son fils, VI, 5o2.

Geigsak (François Adhémar de Monteil de), archevêque d’Arles, ordinairement appelé Monsieur P ’Archevêque, frère du précédent, oncle du gendre de Mme de Sévigné, I. 53o; II, 88, 297; III, 282, 234, 254, 373, 477 IV, 89, 146, i5o, 160, i63, 537, 539. 552; V, 3o et 3i, 66, 394; VI, x3o; ¡