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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. i93

VII, 69, 7i- VIII, 3o2, 3o3, 3 17, 345. Il est parrain de Marie-Blanche de Grignan, II, l5- Sa sagesse, son bon sens, sûreté de ses conseils son dévouement pour le comte de Grignan, III, 983, 35g, 3g5; satisfaction que lui cause la prise d’Orange, III, 3a4 et 325. Il est à Grignan, IV, i3q, 140. M. de la Garde l’emmène chez lui; son heureuse influence partout où il passe, IV, 191. Ordre qu’il a mis dans les affaires du comte de Grignan il est occupé du mariage d’une des filles de celuici, IV, 200, 233. Il se loue des soins et des complaisances de Mme de Grigoan on dit que c’est lui qui maintient l’ordre dansla maison du comtede Grignan, et que s’il venait à man- quer, les affaires de ce dernier seraient fort embarrassées, V, 24, 25, 65. -Mme de Sévi- vigne lui écrit, V, no, 114. Elle pense qu’il ne mettra pas opposition au voyage de Mme de Grignan à Paris, V, ra5. Elle voudrait qu’il écrivit à l’abbé de Coulanges, pour le presser de venir avec elle rejoindre toute la famille de Grignan; qui se trouve réu- nie, V, 274. Il est, dit-elle, un très-bon et très-digne patriarche, V, 283. Elle parle d’une nouvelle ecclésiastique qui doit le réjouir, V, 298 et 299- II presse beaucoup l’abbé de Coulanges de venir à Grignan, V, 3n. Il dit que le voyage de Mme de Grignan à Paris est nécessaire pour les intérêts de sa maison, V, 333, 336. Mme de Sévigné dit à sa fille qu’il faudrait le consulter sur l’embarras de Mme de Siîvigkê. XII

leurs affaires, VI, i73, Quel est son avis sur le couvent où l’on doit placer MarieBlanchePVI, 443. Il doit être à Grignan, où sans doute on jouit bien de sa bonne et solide compagnie, VI, 489. Reconnaissance de Mme de Sévigné envers lui pour une lettre qu’il lui a écrite, VII, 22. -Elle lui envoie ses respects et ses tendresses, et recommande à sa fille de bien écouter ses avis pendant qu’il est auprès d’elle, VII, 66. Eile la trouve heureuse de l’avoir, et de pouvoir causer avec lui, VJI, 101. Chagrin que son départ cause à Mme de Grignan, VII, 114, it6. –Charles de Sévigné a l’intention de lui écrire a l’occasion de son mariage, VII, 257. -Son heureuse vieillesse; Mme de Sévigné est bien touchée de son souvenir, VIII, 269. Allusion à Ja demande qu’il a faite, dit-on, de la survivance de la place de commandeur des ordres du Roi pour son neveu le Coadjuteur,Vm, 378. -Cette demande a été repoussée, et on l’aura certainement trouvée fort ridicule, VIII, 423. Mme de Sévigné et Je chevalier de Grignan pleurent tous deux en apprenant qu’il est dangereusement malade, VIII, 5a8. Mme de Sévigné parle, à propos de sa mort, de toutes ses qualités et de toutes ses vertu;, de son attachement pour sa famille et pour sa maison, VIII, 535 et 536. L’évêque de Beauvais le loue et le regrette, VIII. 537. Le marquis de Grignan le pleure, VIII, 549. Sa mort ajoute l’accablement où le

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