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212 TABLE ALPHABETIQUE ET ANALYTIQUE

Comtesse de

Grignan.

Mme de Grignan sa personne,

son caractère,

son esprit, etc.

Mlle des Jardins, X, 55g et 5Go. Mme de Sévigné lui rappelle un voyage qu’elle a fait avec elle au mont SaintMichel, et lui parle de sa beauté d’alors, IX, 43-45. Mentioss cokcerhakt Mme de GRIGNAN SA PERSONNE, SON CARACTÈRE, SA CAPACITÉ, SON ESPRIT, SES OPIHIONS S<1 beauté, II, 5, 87, 485; III, 75; IV, 273; VI, 5a3; VII, 43o, 455; VILI, 3o6, 406, 456, 474. Mme de -Sévigné la compare à l’Aurore en lui appliquant quelques vers d’un sonnet de Voiture, II, 283. Plaisantes commissions qu’elle donne à sa mère au sujet de ses rivales en beauté, IV, 46. Sa beauté est revenue; elle dit que le temps l’épargne par égard pour sa mère, VII, 365 et 366. Elle est partout belle comme un ange, VII, 3g5. Tréville disait qu’elle brûlerait le monde, IX, 124. Compliment que lui adresse Mme de Coulanges à propos des transparents, V, i35. Elle est toujours belle quand elle se porte bien, IX, ao5. Son teint naturel, IX, 238. Elle a louché dans son enfance, X, 6a. Peur.qu’elle avait autrefois de devenir trop grasse, II, 45g4 V, 178. Abstinence qu’elle faisait jadis le mardi gras; attention qu’elle apportait au soin de sa beauté, et réponse plaisante qu’elle avait faite à ce sujet à la Mousse (sur cette réponse voyez encore VII, 426); maintenant elle s’oublie toujours pour les autres,

et elle est devenue une habile et admirable femme, IX, 462 et 463. Elle est aise d’être maigre, VII, g6. Sa mère lui défend de parler de sa jeunesse comme d’une chose perdue, VII, 408. Elle lui reproche de dire du mal de son esprit et de son corps; le mot commun ne sera jamais fait pour elle, VII, 428. Peu de cas qu’à la différence des autres femmes elle fait de sa beauté, VIII, 197. Sa facilité à rougir, II, 261. a65; cette incommodité a été le vrai rabat-joie de sa beauté, IX, 38g. Pauline est fort jolie, sans avoir la beauté de sa mère, X, 71. Coulanges est persuadé que Mme de Grignan est plus belle que jamais, X, 225, Mme de Sévigné parle du beau portrait, peint par Mignard. qu’elle a d’elle, II, ig6; III, 478, 480, 486; IV, 19, 48, 70, 427; IX, s84’. 1. Admiration de Faucher et de Pompone pour ce portrait, IV, n5, 124. Mme de Sévigné le refuse au Coadjuteur, qui voulait le porter à Madame de Fontevrault elle l’avait précédemment refusé à Mademoiselle elle dit où elle le laissera pendant son absence (probablement chez Coulanges), IV, 123 et 124 (voyez encore p. 141 et 3oo). Madame de Fontevrault va le voir chez Mme de Coulanges, IV, 3oo. M. de Péruis est ravi de son portrait, IV, Ig et 20. -Son mari a envoyé un portrait d’elle à l’abbé de Grignan, IV, 447 et 448. Le mar-

1. Il nous a du moins paru très-probable que c’est dit même portrait qu’elle parle dans ces passages.