DES LETTRES DE MADAME DE SiVIGJïÉ. ai3
quis de la Garde fait faire une méchante copie du portrait que possède Mme de Sévigné, V, 2 16 et 217, 219. On propose chez Pompone un meilleur copiste à Mme de Sévigné embarras et déplaisir de celle-ci, V, 210. D’autres copies en sont demandées, au grand regret de Mme de Sévigné, V, 256. Elle le refuse à Mme de Vins et à l’abbé Arnauid, qui voudraient le faire copier chez eux, V, 274 et 275. Attendrissement de Pompone à la vue de son por- trait, qui lui rappelle le temps » de Fresnes, VI, 3ai. Son fils adore son portrait, VIII, 307; il lui écrit en le regar- i dant, VIII, 329. Son portrait est moins beau qu’elle, VIII, 358 il ne console pas sa mère de son absence, VIII, 391 il entretient chez elle le désir de la voir; Mme de Chaulnes en est charmée, VIII, 417. -La marquise d’Uxelles voit son portrait, et la trouve ’̃: fort belle, IX, 6o3. Son portrait peint par Ferdinand, IX, 4^4- Autre portrait d’elle en miniature, appelé le petit ami, IV, 147 et note 12, i5g, 182. La princesse de Tarente est enchantée de son petit portrait, IV, i55, i5g. Cette princesse la trouve plus jolie que son portrait, IV, 182. Sa mère est entourée de ses portraits, VIII, 201 (voyez encorel, 497 et4g8). Un peintre se trouve indisposé en la peignant, et meurt le lendemain, II, 540 et note 2. Perfection qu’avait sa danse, II, 263, 3o8, 339; III, 365; IV, 254, 488; VII, 14. La danse ne la tente plus, VI,
284, 258, ag3. Sa mère lui rappelle un ballet (le ballet des Arts) où elle avait si bien dansé, VII, 92. Son talent pour la lecture à haute voix, IX, 328. -Sa tristesse, sa négligence pour sa toilette, à la mort du chevalier CharlesPhilippe de Grignan, II, 5i8 et 5ig. Son bon goût dans ses ajustements, VI, 294. Sa mère, sa belle-soeur et son frère se rapportent à elle du choix de divers ajustements,
VII, 415, 416, 420. Avec
quelle simplicité elle est malade, IV, 458. Sa témérité en voyage, III, 42, 62, 94; V, 377; VI, 37i; VII, 117 et 118. Petit discours que lui tient sa paresse, II, 90., -Allusion à sa paresse par le temps chaud, IV, 500. Ses deux humeurs, II, 479, Ses humeurs, VIII, 446, 5 16. Ses humeurs noires; elle en est cependant la maitresse, III, 52. Ses colères, III, 20. Elle ne pleurait guère, V, 169 et 170. Dragons qui la dévorent souvent; son humeur est charmante quand elle le veut bien V, 3i3» Mme de Sévigné lui parle de l’opposition de leurs humeurs et de la sympathie de leurs cœurs, III, tqo. Son irrésolution, III, 3&7 et 368 V, 126 et 127. Son incertitude à force de lumière, VI, 444. Elle est inébranlable dans ses résolutions, IV, 461. Sa constance dans les choses qui sont bonnes, VI, 545. Elle a mandé à sa mère ses sages résolutions, VIII, 104. Son abord est dédaigneux; mais dès qu’on a espéré d’avoir part à son amitié, on
Comtesse de
Grignan.
