Aller au contenu

Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/223

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

DES LETTRES DE MADAME DE SEVIGNE. 217

et la gronde de ne pas achever Ce la lecture de Tacite, II, aÏ7 et a58, 273 et 274, 276. Mme de Sévigné a calculé qu’il lui faudrait cinquante ans pour traduire Pétrarque, II, 350. Elle lui conseille de relire la mort de Clorinde, dans la Jérusalem délivrée, IV, 23g. -Elle l’engage à lire l’Histoire des Croisades du P. Maimbourg, IV, 1 et 19, Elle lui envoie la troisième partie des Essais de morale de Nicole, et la remercie du goût qu’elle a pour Josèphe, IV, 23r. Elle lui recommande de lire les Essais de morale, de lui en donner son avis, ainsi que de l’Oraison funèbre de Turenne, par Mascaron, et d’achever Josèphe, IV, 307. Mme de Grignan est contente des Essais de morale; elle n’aime pas la Vie de Josèphe, mais elle approuve ses actions et son histoire, IV, 33 1 et 33a. Son frère l’accuse d’aimer les choses fines et distillées, et de trouver les galimatias clairs et aisés, IV, 352 et 353. Sa mère lui conseille d’achever l’Histoire des Pizirs, V, 5 et 6; elle l’achève, V, 14. Sa mère regrette qu’elle n’ait pas entendu causer le P. le Bossu, et veut montrer à celuici une lettre qu’elle a écrite à Corbinelli, V, 62 et 63, 67 et 68; elle lui recommande la lecture du Traité dit poëme épique de cet auteur, V, 87.’ Elle a mandé à sa mère ce qu’elle en pense, V, ni. Son frère lui répondra sur le poëme épique et sur les bonnes lectures qu’elle fait, V, t85. Elle goûtait peu, paraît-il, le poëme épique, V, 22JÎ, 229, 2S4. Sa mère croit pour-

tort à l’abbé de Grignan et au Coadjuteur, VI, 449, 460 VII, 3o et 3i. Elle parle comme les semi-pélagiens, VI, 487. Allusion à une de ses hérésies sur le baptême, VI, 529 VII, 8; sa mère la combat, VI, 53i et 53a. Elle est, lui dit sa mère, du même sentiment qu’elle sur les jésuites, sans en vouloir convenir, VII, 98 et 99. Elle a ri trop timidement d’une conversation que sa mère lui a racontée de Boileau avec un jésuite craindrait-elle de compromettre ses beaux-frères les prélats? IX, 440 et 44i. Confiance. qu’elle avait aux neuvaines, VIII, tg6. Elle sait fort bien sa religion, et peut l’apprendre à Pauline, VIII, 461. Fréquentes communions auxquelles l’oblige son rang en Provence, VIII, 5i4 et 5*5 IX, 88 et 89. La manière dont elle veut faire le jubilé la fatiguera beaucoup, IX, 556. Allusions au mot qu’elle laissa échapper en entendant à la messe des Filles bleues le Domine^ non sum dignas, d’un certain prêtre, VII, 62 IX, 557. On dit que l’abbé Anselme est son confesseur extraordinaire, X, 312. Sa mère la félicite sur la manière dont elle écrit l’italien, et lui conseille de le parler, III, 16 et 17; elle la loue de le bien parler, III, a3 de ne pas vouloir l’oublier, IV, 232. Difficulté qu’elle éprouve à 1 distinguer le suisse de l’allemand, V, 4o. Son opinion sur la Fontaine et Corneille, II, 237. Pétrarque doit la divertir sa mère lui pardonne de ne pas aimer les romans,

Comtesse de

Grignan.