DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 227
4*8. Attendrissement de sa mère en parlant d’elle, VI, 4n. Sa mère désire la voir, VI, 448 Vn, 22, 3a et 33, 3g, 44ii56, 66 et 67, 72, 75. Bonheur qu’éprouve sa mère en entendant, dans un bal à Rennes, prononcer son nom et vanter sa danse par un inconnu qui l’avait rencontrée à Toulon, VII, 14. Sa mère célèbre son nom jusqa’en Bretagne, et le remet, dit-elle, dans son air natal, VII, 43. Sa mère lui dit qu’elle n’a rien sur le cœur, et qu’il n’y a pas eu un moment ou elle n ait été sensible au plaisir d’être avec elle, VII, 292. Elle aime le portrait de sa mère, VII, 3i8.– Sa mère fait Féloge de son cœur, VII, 404; lui dit quelle doit être bien aimée quand elle aime, et même quand elle n’aime pas, VII, 4ï2. Ses sentiments font tort à ceux de son frère, dignes sans cela d’être admirés, VIII, 218 et 219. Mme de Sévigné tient infiniment à son estime, VII, 440 elle la consulte intérieurement sur tout ce qu’elle fait, VIII, ror. Elle lui recommande de ne se faire jamais ni vieille ni malade, Vin, 5og et 5io IXj 23g elle envie au chevaher de Grignan le bonheur qu’il a de la voir, IX, 73, gi. Combien les neuf mois que sa mère l’a quittée ont paru longs à celle-ci, LX, IOS- Elle est la seule personne avec qui sa mère pourrait passer tous les instants de la journée, IX, 120. Goût de sa mère pour son esprit et sa personne, estime et admiration pour son cœur, IX, i55.
ce public n’en est pas digne, X, i65. Elle s’est servie, en parlant à Mme de Sévigné du père de celle-ci, des mots Monsieur votre père, IV, 32o. Elle ne veut pas du mot de vapeurs, IX, 29, 48 elle paraît raccommodée avec ce mot, IX, 107. Elle a employé l’expression d’effer- vescences d’humeur, IX, 146. Sa mère lui rappelle un mot impropre qui lui est échappé dans une consultation sur son mari, et son frère la plaisante à ce sujet, IX, 39o et 3gi. Quelques-unes de ses lettres se sont égarées, II, 354 et 355, 402, 4o3. Ses lettres perdues, IV, 160. Mme de Simiane fait espérer au comte de Bussy qu’elle lui enverra des lettres de sa mère, XI, 18. SA mère Expression de la tendresse de sa mère pour elle, et de sa tendresse pour sa mère voyez Sévioké (Mme de). Mme de Sévigné se félicite de la bonne intelligence qui existe entre elles, III, 289 et 290. Mot de Pompone sur la manière dont elle est aimée de Mme de Sévigné, III, 027 et 528. Sa mère répond à un reproche d’indifférence qu’elle lui a adressé, V, 14r et 142. Sa mère voudrait être autant dans son goût qu’elle est dans son cœur, V, 347. Mme de Sévigné est sans cesse occupée d’elle, V, 349 VI, 387, 389, 390 et 3gi. Elle a écrit à sa mère qu’elle souhaitait vivre moins longtemps qu’elle, VI, 181. Elle ne veut pas que sa mère meure, VI, 3 10; VIII, j
Comtesse de
Grignan.
Sa mère.
