Aller au contenu

Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/234

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

aa8 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Comtesse de Grignan.

il lui faudrait une grande force et une grande vertu pour supporter la mort de sa mère, X, 406. On redoute pour elle les tristes souvenirs qu’elle trouvera à Paris, X, 411- Douleur de Mme de Sévigné à son premier départ, II, 46., 47» 5i-53, 129 et i3o; X, 543. Sa mère veut la garder quelque temps à Paris (1674), III, 4o5. Son bonheur de l’avoir auprès d’elle, Ht, 425. Sa mère ne peut s’habituer à ne la plus voir, III, 485 IV, 9, i5, 26901270; VI, 29S, 376 et 377 IX, 33 X, 543 et 544.Elle offre à sa mère de venir passer l’été avec elle, IV, 3yS. Sa mère voudrait la voir à Bourbon, et ensuite à Paris; raisons qu’elle lui donne pour la déterminer à y venir son frère la presse d’exécuter ce projet, IV, 392, 396 et 397, 398, 401, 4o3. Sa mère ne veut pas qu’elle vienne la voir à Vichy, si elle ne doit pas ensuite revenir avec elle à Paris, IV, 408. Sa mère ne veutpas d’elle pour quinze jours; il lui est impossible d’aller passer l’été et l’automne de 1676 avec sa mère, IV, 412, 429. Qu’elle vienne du moins passer l’hiver avec elle, IV, 443, 448, 461, 469 et 470, 474 et 475, 492 et 493, 496, 498. Elle ne peut pas aller rejoindre sa mère a Vichy, IV, 420. Pourquoi celle-ci n’a pasvoulu qu’elle y vînt, IV. 495 et 496. Difficultés qu’elle fait de loger chez sa mère quand elle viendra à Paris, IV, 480, 484. Sa vue guérira sa mère de tous ses maux, IV, 553. Elle est attendue avec impatience,

-Elle est, lui dit-elle, la douceur et la consolation de la fin de sa vie, IX, 307 elle a un cœur du premier ordre, dont personne ne peut approcher, IX, 3t6. Le passage d’une lettre ou Mme de la Fayette dit à sa mère que celle-ci est vieille, lui a fait verser des larmes, IX, 334. Sa mère est profondément touchée de ses souhaits de bonne année il lui est doux de penser qu’elle mourra avant elle; elle rappelle combien la crainte du contraire lui avait été douloureuse, IX, 406 et 407, &rt et 412. Si sa mère lui a donné un moment de chagrin, elle la prie de lui pardonner, IX, 444- Coulanges exprime toute l’inquiétude qu’il éprouve pour sa santé, après le coup terrible qu’a dû lui porter la mort de sa mère; la tendresse qu’elle lui inspire à lui-même va redoubler en souvenir des sentiments que sa mère avait pour elle, X, 385 et 386. Il n’osera lui écrire de longtemps, X, 3gi. Elle sent bien tout ce que sa mère était pour elle, et la grandeur de la perte qu’elle vient de faire; elle exprime toute sa douleur au président de Moulceau, X, 387 et 388. Le comte d’Estrées parle de l’affliction où il l’a -trouvée, X, 392. Lettre où elle témoigne à Pompone sa douleur de la mort de sa mère, X, 399 et 400. Le chevalier de Grignan a parlé au lieutenant civil le Camus de l’affliction où elle est; cel ui-ci la partage, X, 4o3. Elle remercie Mme de Guitaut de la part qu’elle prend à sa douleur, et de l’amitiéqu’ellelui témoigne;