Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/243

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DES LETTRES DE MADAME DE SËYIGNÉ. a3y

mère l’engage à accompagner Ce son mari à Avignon, VIII, 23o. Ascendant que son mari exerce sur elle; en la faisant toujours la maîtresse, il est toujours le maître, VI, 3g5 et 396. Comment elle a soigné la goutte de son mari, VIT, ai, 44. Les inquiétudes que lui donne la santé de son mari doivent lui faire beaucoup de mal, IX, 178. Sa mère voudrait bien que son mari pût remplacer le maréchal de Luxembourg dans la charge de capitaine des gardes, VI, 219 et 220. Son défaut d’ambition pour elle et pour son mari, VI, 3o2-3o4, 3i6 et 3r8. Elle devrait penser pour son mari à la charge de premier maître d’hôtel du Roi, VII, 63 et64. -Sa mère luiapprend que son mari est nommé chevalier de l’ordre du SaintEsprit conseils qu’elle lui donne pour les lettres qu’elle aura à écrire à cette occasion, VIII, agSet 296. -Nombreux compliments que cette nomination lui attire, VIII, 300, 3o3, 304, 3og, 3i8, 3îi, 33i, 334, 335,. 34i, 342. Sa mère lui envoie aussi les siens, et énumère toutes les prospérités, mêlées de quelques peines, qu’elle a eues depuis trois mois, VIII, 3o2, 3o3, 3Ô4 et 305. Cette nomination a été pour son mari une distinction toute particulière, VIII, 3zg et 33o. Elle a appris cette nomination; sa joie a. été comme l’attendait sa mère, VIII, 333 et 334. –.Grand nombre de lettres qu’il lui faut écrire en réponse aux compliments qu’elle reçoit, VIII, 365, 3g3. Sa mère lui en-

moment de leur réunion et désire ne plus se séparer de lui, V,438 et 439, 444. –Mme de Sévigné dit qu’elle a tout sacrifié à son mari, sa santé même et sa mère, VI,22. Sa sollicitude pour lui, VI, j 28. Elle consulte ses volontés comme autrefois on consultait les entrailles des victimes, VI, 74. Elle fait passer son devoir envers lui avant tous les autres, VI, 76. Sa mère aurait envie, dit-elle, de faire un traité sur. l’amitié, ’=, et paraît vouloir faire entendre que Se comte de Grignan n’en remplit pas tous les devoirs envers sa femme, VI, 75. Elle dit, mais peu sérieusement, que sa fille est jalouse, VI, 197, 298 et 299, 3oo, 421; VII, 53, 112. Sa mère veut qu’elle lui dise sincèrement si la jalousie dont elle plaisante ne la rend pas chagrine, IX, 10. Elle dit à son mari qu’elle est revenue de Versailles; elle lui parle de la procession des chevaliers de l’ordre du Saint-Esprit elle craint qu’il ne soit pas immédiatement admis dans cet ordre; elle l’entretient de ses affaires avec ses filles et avec le duc de Montausier, de Mlle d’Alerac, qu’elle a vue à Versailles sans lui parler, d’une jupe magnifique qu’il lui a donnée, de son désir de voir son fils bien paré et de pouvoir faire des économies pour qu’il paraisse sur un bon pied dans le monde; elle voudrait pouvoir le rejoindre et se renfermer avec lui dans leur château; elle mentionne diverses affaires qui la retiennent à Paris, VIII, 1 46-1 5a. Sa

Comtesse de

Grignan.