Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/244

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a38 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Comtesse de

Grignan.

Ses enfants

Marie-Blanche.

voie le cordon bleu et la croix de son mari, VIII, 456 et 4&7Sa mère le remercie de rester avec sa femme et sa famille, 1 IX, 467- L’amitié de Mme de Grignan pour son mari fait qu’elle ne saurait lui en vouloir longtemps, IX, 490 et 4gi. Elle va avoir le plaisir de recevoir des lettres tendres de son mari et de lui en écrire tous ses sentiments se développent pour lui, X, 265 voyez Gbignan (le comte de). Son affection, son dévouement pour la famille de son mari; elle doit nécessairement en être aimée et appréciée, II, 5io; VIII, IS7, a3o, 235, 32a. Son désir de bien vivre avec toute cette famille, VIII, 204. Sa mère voudrait la louer particulièrement de tout ce qu’elle a fait pour sa famille, si elle ne craignait de blesser sa modestie; elle lui applique un passage d’une lettre de Voiture au prince de Condé, VIII, a3o. Son souvenir est encore bien vif à Paris; elle pourrait y être utile à sa famille, VIII, 284. Elle s’est détachée de sapropre famille, hors sa mère, à qui elle a donné tous ses sentiments, VIII, 3sî. Voyez ci-après, p. 243, Okcles ET pbèbes DE SON MARI. Il est décidé que ses belles-filles resteront chez elle, V, 255. Difficultés survenues, au sujet de ses belles-filles, avec le duc de Montausier, VII, 34S VIII, 147-149. Part qu’elle a eue à la résolution que prend Mie de Grignan de se faire re-

ligieuse, VII, 67-69, 70 n’a-

t-elle pas de respect pour cette jeune fille? VII, 78; émo-

tion que lui causent ses conversations avec Mlle de Grignan, VII, 109; elle va la voir au couvent de Gif, VII, 296; elle voudrait la ravoir chez elle pour l’édification de toute sa famille, VII, 4x3. Elle a contribué la petite manœuvre qui a décidé Mlle de Grignan à faire une donation considérable à son père, VII, 524; VIII, 7, io et 11. Mlle d’Alerac doit avoir le plus mauvais cœur du monde, pour oublier les obligations qu’elle lui a, et l’avoir quittée comme elle a fait, VIII, 148. Elle a vu Mlle d’Alerac à Versailles sans lui parler, VIII, 149; voyez GaiGKAN (Mlle de), et VIBRAYE (Mme de).

SES esïpakts Elle annonce à son mari la naissance de MarieBlanche, II, i3. Elle redemande sa fille à Mme de Sévigné, II, 3o2 et 3o34 Mme de Sévigné lui dit, au sujet de Marie-Blanche, qu’elle ne croit point qu’on puisse ne pas aimer sa fille quand elle est jolie, III, yS. Elle prend soin de Marie-Blanche, et n’est plus si entêtée de son fils; elle ne comprend pas encore trop bien l’amour maternel, IV, 212. Elle a le courage de mettre MarieBlanche au couvent, IV, 432, 45i. Celle-ci l’a vite oubliée; inhumanité qu’elle donne à ses enfants, IV, 480 et 48 1. Mme de Sévigné l’engage à avoir pitié de la jalousie de Marie-Blanche, VI, 237. Elle a passé une retraite dans le couvent de MarieBlanche, et n’a pas parlé de celle-ci à Mme de Sévigné,