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Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/270

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264 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Comtesse de

Grignan.

dépense, II, na, 118. Elle la plaint d’avoir à exercer une hospitalité fatigante et coûteuse, II, 3o3 et 3o4.– Qu’elle prenne conseil sur ses affaires de son beau-frère le Coadjuteur, II, 3a5; qu’elle ne se décourage pas et agisse, II, 342. Embarras de ses af- faires, fatigue qu’elles lui causent, II, 879 et 38o, 462. Conseils d’économie et reproches sur les dépenses, II, 250, 261, 499; DI, 6 et-7, 77, 129 et i3o, 334, 392 et 393; V, 253 et 254 VI, 108 et zog; VU, 3gg et 400; IX, 442. L’abbé de Coulanges espère restaurer ses affaires, IV, 27, 178. Mme de Sévigné et l’abbé de Coulanges la louent de son esprit d’économie, d’avoir payé tousses arrérages, et l’exhortent à continuer, IV, 180, 271, 274, 279 et 280. Elle s’engage pour son mari, IV, 214. C’est l’archevêque d’Arles son oncle qui maintient l’ordre dans leur maison, IV, 53? V, 24 et 25. Sa mère lui parle de la vente d’une terre érigée en marquisat (sans doute Vénejan), IV, 408; elle lui conseille de ne pas laisser son mari vendre à vil prix le marquisat de Vénejan, V, i5 et 16, 17. Inquiétudes de Mme de Sévigné sur les affaires de sa fortune, pour le temps oit l’archevêque d’Arles ne s’en occupera plus; elle voudrait que Mazargues fût vendu, V, ,1 65. Mme de Sévigné l’entretient de l’affaire de Toulon et de celle des blés, VI, i3i elle revient sur l’affaire de Toulon, parle de celle d’un courrier, et trouve qu’en toutes choses Usaont malheureux, VI, i5i et

i5a. §&soiîiude de Grignan, où, dit-elle, il ne doit plus y avoir que cent personnes, V, 93. Chaos de ses affaires, chute de sa maison; chagrin et conseils de Mme de Sévigné, VI, 173 et 174; elle prie sa fille, si ses avis l’ont brouillée avec le comte de Grignan, de la réconcilier avec lui, VI, i85 et 186; elle la remercie d’avoir amené cette réconciliation, VI, 33g. Ses horribles dépenses à Aix pendant le carnaval, VI, 254, 292 et ag3. Bals et soupers qu’elle donne, VI, 280, 291. Allusion à la ruine qui la menace, VI, 325 et 3a6. La magnificence déployée à Aix la met à sec pour six mois, VI, 377 et 378, 391, 440; ils devraient songer à ne plus jouer le rôle ruineux de gouverneurs, VI, 396 raisons qui néanmoins peuvent la consoler de ces dépenses d’Aix, VI, 397. Remontrances sur ses cinquante domestiques et sur le nombre des gens reçus à Grignan; on (sans doute le comte de Grignan) trouve néanmoins à dire à la frugalité de ses repas, VI, 401 et 402, 429, 5oi et 5oa, 5o3; VII, 368. Elle sait se faire honneur de sa grande dépense, qui ne paraît pas encore suffisante à son mari, VI, 469. Elle donne des fêtes à Grignan, VI, 557; VII, 15 et 16; elle va y avoir bonne compagnie, VII, 17. Énumération de ses dépenses, VII, 33 et 34. Infinité de trains qui arrivent à son château, VII, 61, 6g, 91. Économies qu’elle peut faire à Paris sur Grignan, VU, ia3 et 124, 126 et 127.