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278 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

tion d’Aix, VIII, 3. Sa grand’nière est ravie qu’elle soit contente, VIII, 289. Elle a une esquinancie qui inquiète sa mère, IX, 11 G. Mme de Sévigné ira à Aix pour la voir, IX, 5go. L’évêque de Luçon dit qu’elle aime aussi peu de gens que si elle était dans le plus grand monde, mais qu’elle les aime autant qu’une religieuse sait aimer, X. 5?4 (?) Elle est malade, XI, 286.

Gbigkak (Pauline de), sœur de la précédente. Voyez Simiane (Pauline de Grignan, marquise de).

Guignait (les enfants de M. et de Mme de), IV, 82 et 83, 1S2, 271 VI, 112, 2o5, 300, 421, 477, 5i5, 529; VII, 71 VIII, 227. Mme de Sévigné les appelle piclions, III, 3^6; IV, 70, 357, 364, 38o, 382, 399, 408, 425, 48o, 4g5> 52o; V, 10, 87, i32. Elle leur préfère leur mere, IV, 91. Elle les remercie d’avoir prié pour elle pendant sa maladie, IV, 357. Mme de Rochebonne a-t-elle été bien aise de les voir? V, 43. Mme de Grignan les a-t-elle trouves dignes de l’amuser? V, 181, ig5. Mme de Sévigné félicite sa fille de les avoir fourrés dans sa litière et emmenés à Lambèsc, VI, 84. Leur oncle Charles de Sévigné les aime tendrement, et sera heureux de leur laisser ce qu’il a, X, 410-

Ghignan (Jean-Baptiste Adhémar de Monteil de), abbé d’Aiguebelle, évêque de Claudiopolis, coadjuteur, puis archevêque d’Arles, frère du comte de Grignan, II, 42, 5y, 5g,

partir, III, i33. Elle s’arrange pour la bien établir à Paris pendant son absence, III, i38, 148, i57. -Elle se félicite de l’y avoir ramenée, III, 141. Elle la soigne pendant sa petite vérole volante, III, 147 et 148. Marie-Blanche est auprès de ses parents, en Provence bien que le comte de Grignan dit d’elle, III, 408. Mme de Sévigné demande si elle se souvient d’elle, IV, 70. Sa mère prend soin d’elle, IV, 212. -Est-elle à Sainte-Marie? IV, 380, 408. Est-elle fâchée d’être en religion ? IV, 425. Elle doit être au désespoir d’avoir quitté sa mère et d’etre enfermée dans un couvent, IV, 4^2. Elle dissimule sa douleur; Mme de Sévigné la plaint, IV, 45 1 elle demande de ses nouvelles, IV, 455; V, 23g VI, 358. Elle est gaie et contente, IV, 461. Elle ne s’ennuie pas au couvent, et ne songe ni à père ni à mère, IV, 480 et 481. Mme de Sévigné gronde Mme de Grignan de ne lui avoirpas parlé d’elle, V, r53. Mme de Sévigné pense souvent à elle, V, 23g. Mme de Grignan désire la voir elle reproche à son père de la négliger il lui doit pourtant quelque amitié, V, 443. Son goût pour la danse, VI, 197. Son esprit jaloux, VI, 237, 548 et 54g. Son bonheur de pouvoir regarder sa mère, qui fait une retraite dans le couvent où elle est, VI, 329. Sollicitude de Mme de Sévigné pour son avenir, VI, 442 et 443, 466, 467, 548 et 54g. Elle prend, à seize ans, l’habit à la Visita-