Aller au contenu

Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/387

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

DES LETTRES DE MADAME DE SEVIGNE. 38i

remontée qui menaçait de le tuer, VI, aSj*. II sa rétablit doucement a Saint-Germain; ses amies ont été diversement inquiètes de son mal selon leurs dates, VI, agi. Il a une côte rompue à la chasse, VII, ag3. Son anéantissement il est mal soigné; il se trouverait beaucoup mieux des remèdes des capucins du Louvre, VII, 388, 38g et 3go. Sa mort son successeur, VII, 464. Sa croix de l’ordre du Saint-Esprit, qu’il avait donnée au marquis de Vardes, revient à ses héritiers, VIII, 180. Plaisanterie sur l’ancienneté de sa noblesse par sa mère, X, a83.

Lttdé (Renée-Êléonore de Bouillé, comtesse, puis duchesse du), première femme du précédent, II, 66; III, 539. -Sesadieux à son mari, III, 26; chagrin que lui cause le départ de celui-di pour la guerre, III, 36.

LUDE (Marguerite-Louise-Suzanne de Béthune Sully, comtesse de Guiche, puis duchesse du), veuve du comte de Guiche et seconde femme du duo du Lude, II, 143, 144, 5n; VII, 465; VIII, 180, 266, ïqo, 3ar, 33o, 482, 464, 480, 508; IX, 38; X, 62, 161, î3g, 241, 20,6, 3oi, 3oy, 311, 326, 34g, 355, 372, 45g, 461, 488. Son chagrin et convenance de sa conduite en apprenant la mort de son premier mari, III, 303. Sa grànd’mère et le monde s’occupent déjà de lui trouver un parti, III, 3o4 et 3o5. Elle ne voudrait pas se remarier, III, 33o. -La Reine exige qu’elle vienne au dîner de la cour, bien qu’elle soit en deuil de veuve, III, 386.

quelque chose de lui? IX, 4l 3- -Allusions ou citations: Caron ou le Contemplateur, II, 349; III, 345; IV, 147; VII, 330, 374; X, 229, a56; Vlcaroménippe, VI, 426; les Sectes à l’encan, VI, 492. Luçosr ( Pévêque de ). Voyez BAREItLOM, et BlTSSY.

Lucrèce, femme de Tarquin Collatin, XI, 272.

Lude, nom de lieu, III, 36. Lude (François de Daillon, comte du), gouverneur de Gaston d’Orléans, IV, 4.

Lude (Timoléon de Daillon, comte du), fils du précédent, IV, 3a3.

Lude (Henri de Daillon, comte, puis duc du), fils du précédent, grand maître de l’artillerie, II, i34 et i35; III, 33g; IV, 27, 72 XI, lxxvi. II part pour la guerre, III, 26, 36. Il revient avec le Roi, III, 525. Son désespoir de n’être pas maréchal de France; il est fait duc; cette dignité n’ajoute rien à ses priviléges, III, 539. II sera bientôt maréchal; le Roi lui parle en termes très honorables ce qu’il lui répond, IV, 4 et 5. Il veut retourner à la guerre et gagner le bâton de maréchal, IV, 527. Cette prétention amuse Mme de Sévigné, IV, 551. Son oncle, l’évêque d’Alby, lui laisse des trésors, IV, 556. Il va recueillir cette succession; il ira peut-être en même temps à Grignan, V, 10. II serait plaisant que Mme de Grignan l’eût rencontré au Saint-Esprit, V, iS. Ses richesses; il de- vrait faire une pension à Cor- binelli, V, 66. Le frère Ange le guérit d’une goutte