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544 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Charles S

de Sévignê.

Sa personne,

sa conduite,

son caractère,

etc.

Il est propre à n’être heureux ni dans ce monde ni dans l’autre, VI, 461. Sa conduite et ses sentiments inexplicables, VI, 4gi et 492. Il n’est pas du tout ce que sa mère aurait désiré qu’il fut, VI, 5oa. Il désire rencontrer une cruelle, VI, 548. Son mauvais goût dans le choix de ses maîtresses, VII, 18. Il est à Rennes, embarrassé entre deux belles, VII, 3o. Ses plaintes au sujet des procédés d’une personne qu’il a a aimée, VII, S7. Il devrait faire lui-même la satire contre les folles amours, au lieu de la traduire dans Térence, VII, 85. -Voyez ci-dessus, p. 2 5, Bagnols (Mme de) p. 79, Champmeslé (la) p. ti45 Coste (MUe de la); p. 14a, Ekci,ds (Ninon de l’) p. 462, Poussai (Mlle de) et ci-après, Toîsquedec (Sylvie de); Ventadofk (la duchesse de). Il ne se connaît pas en bonne chère, VII, 368 et 36g. Il joue aux échecs, VI, 249; il doit jouer au reversi avec le Dauphin, VI, 4g* et 4g3 il joue à l’hombre, VII, 48, 62, 99, 106, 110, 3?.4ï il joue au trictrac, IX, a5o et a5l, 2S9 et 260; sa chaleur au jeu; il y est aussi pétulant que le comte de Grignauj VII, 446 et 447 Il a bien de l’esprit, II, 25i, 267; IX, 47, 445, 476. Il est tout à fait fin, VI, aqg. Son esprit cultivé, VII, "335; IX, 5ai, SM- Son talent pour la controverse, VII, 74. Il plaisante sur la subtilité des questions philosophiques dont sa sœur s’occupe, V, a3o. Il défend la philosophie de Descartes,

SA PERSONNE, sa CONDUITE, SON caractère, SON espbit, SES i.ecTURES, SES goûts, SA RELIGION ET SA dévotion Sa naissance, I, 35,7, 358. ll est bel enfant, III, 36g. H plaisante sur sa beauté (1678), IV, 261. Il est, dit sa mère (1680], fort joli de sa personne, IX, 47. Il est joli, III, i5, 191; IX, a63. Son aimable caractère, II, 168; IV, 267; IX, 47. Il est aimé de tout le monde, III, 192 ;X, 3 16. Il plait, VI, 188. -Il est divertissant, II, 281, 267 IV, 267, 271, ago; V, 122, 140, 208; VI, 382. Sa gaieté, IV, 45o. Il anime tout aux Rochers, VII, 62. Charme de sa société, IV, 271 VI, 188; VII, 324. Ninon trouve qu’il a la simplicité de ta colombe; il ressemble à sa mère, II, 137. Sa faiblesse de caractère, II, !^6. Son opiniâtreté, VI, 333 et 334. Il est à craindre qu’il ne soit un peu trop Breton, VI, 36. Il se défend fort de vouloir être Breton, VI, 299. Son inconstance, IV, 3o4 et 305. -Sa fragilité, IV, 809. Il avale le péché comme de l’eau, II, 168. Il est dégoûté de volupté, II, 178 et !74. -Ses maîtresses ne seront pas inconsolables de son départ pour les Rochers {1671Ï, II, 222. Sa mère lui croit une amitié à Sézanne, III, 3gi. Il est surpris par un mari, V, 200 et 201. Plaisanteries sur ses nombreuses maîtresses, V, aî3, 23 1, 257. H se divertit en basse Bretagne, VI, i^t. Mentions d’une intrigue qui a pour lui une fort déplaisante conséquence, VI, 476, 488, Si 5, 548, 559.