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DES LETTRES DE MADAME DE SÉV1GNÉ. 54S

VII, 73 et 74. Il ne mord pas aux subtilités de la métaphysique, IX, 4ï9- Il n’est point paresseux- pour écrire, IV, 554* Son talent pour lire à haute voix, VII, 3a4 î VIII, 124 IX, 328, 437, 4S2. j -Son amour pour la lecture, VII, 99; IX, 372. C’est un lecteur infatigable, IX, 7a, 211, 372. -Lectures qu’il fait à sa mère, II, 224 et 225, a5r, 267, 274; IV, ago; V, aa^; VU, 75, 85, 88 et 89 IX, air, 212, 824-326, 367, 37Î y et 374, 408 et 409. Lectures qui lui plaisent, VI, 448. Sa mère se fie à son gotit en fait de lectures, X, 3i6. -=̃ II est heureux de lire une relation de sa sœur sur les cours d’amour, IX, 384 et 385. Il s’incorpore les ouvrages qu’il lit plusieurs fois, IX, 4o3. Rapidité avec laquelle il lit l’histoire de la prise de Chy- ̃• pre, IX, 442. Ce qu’il pense de Nicole; illui préfère Pascal, IV, 336, 35a et 353; ce qu’il pense de Montaigne et de Plutarque, IV, 336 et 337, 353 de l’Oraison fa- rièhre de Turenne par Mascaron, IV, 34» de saint Augustin et de saint Paul, V, 126; d’un opéra de Quinault (Atys), IV, 353. Son avis sur le poëme épique son mépris pour Enée, V, 225. Ses plaisanteries sur la lecture de Virgile, V, 23o. Son admiration pour Virgile, V, a3o. Son jugement sur Abbadie, IX, 4o3. Il trouve un bref du pape mal traduit, IX, 329. Il admire quatre vers qu’on a mis au-des-,sous du portrait d’Arnauld, IX, 1 628 et 5ag. ̃– II n’y a de bon en lui que la crainte de

faire un sacrilége, II, 168. ( Il communie aux- Rochers, IV, "e 296. Ildispute avec un mi nistre protestant, IV, 296. Son goût pour la tranquillité, IV, 288; VIII, 533; IX, 32o. Sa dévotion,- VII, 334 et 335. Il est chrétien, VII, 338. Il lit sans cesse les livres saints, VII, 335. Ses pensées pieuses, VII, 38o. Il réclame les prières nominales d’une communauté, qui lui sont dues par une fondation, VII, 383. Sa philosophie chrétienne, VII, 524 et 5s5. Il ne partage pas la doctrine du péché philosophique, IX, 484. Il va remplir le devoir pascal, IX, 484. Il ne doit plus songer, dit-il, qu’à tâcher de rendre utiles pour son salut les semences de piété et de religion qu’il a reçues de son éducation, et que malgré ses dérèglements il a toujours cultivées par les bonnes lectures, X, 418. C’est son premier métier que celui d’être dévot, X, 4g 1. Il s’est retiré à l’Institution de l’Oratoire, XI, un.

Sa. santé II se porte bien, II, S 82;- III, go, 362; V, 7, 17, 345 IX, 47. La maladie de son âme est tombée sur son corps, II, 168. Sa mère se propose de lui soigner le corps et l’âme, II, 19c. Il est blessé légèrement à la tête, au combat de Senef, III, 410 et 411, 416, 419. Il souffre d’un rhumatisme, V, io3, io5, 117. Sa goutte sciatique, V, 141. -Sa blessure au talon (reçue au siége de Valenciennes), V, 191, 300, 225, 287, 246; 247, 273. II

Mme de Séviché. xii 35

Charles

le Sévigaé.

Sa santé.