Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 14-2.djvu/281

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QUEJ DE MADAME DE SËVIGNÉ, a?3

RÏME DE SÉVIGKÉ. XIV J w.. v r aJ~ jg

Je mets les choses au rang y«’elles doivent être. (Gr. III, 480.) Commencez donc par décider. si je vendrai mes grains à Noël prochain auprix qu’ils se trouveront. (Autogr. X, 87, 88.)

3° Dont

On se promène, on entend la messe, on rend les eaux, on parle confidemment de la manière qu’on les rend. (Gr. IV, 456.) Elle {Mme de la Fayette) vousremercie tendrement de la manière que vous comprenez sa douleur. (Gr. VI, 354, 355.)

Le hasard peut faire qu’elle (cette lettre) viendra mal à propos, et qu’elle ne sera peut-être pas lue de la manière qu’elle est écrite. (Gr. II, ng.)

De la façon que j’en ai out parler, il (votre secrétaire) vous manquera à tout moment. (X, 346.)

De la façon que je l’entends. (1736, 11,386.)

4° Avec lequel, laquelle

Je vous aime avec la même inclination que ce fleuve va de Lyon dans la mer; cela est un peu poétique, mais cela est vrai. (V, 24G.) S0 Pour lequel, après un nom de temps

Vous devez prendre désormais quelque intérét à mes affaires, tout au moins pour un an, qui est le temps que vous avez affermé le Buron (Autogr. VII, 5i8.)

G0 Si ce n’est ·

Il n’est pas possible de parler d’ici sur cet article, qu’en vous assurant en général que le pain est fort enchéri. (Autogr. X, 88.)

Que ferois-je si f étais en Bourgogne que desuivre tous vos conseils? (Autogr. X, ia4.)

Il y a trois mois qu’elle (la duchesse du Lude) n’y va plus (à Versailles et à Marly), que Vautre jour à Marly. (Autogr. IX, 526, 5:17.)

Sans arrêter que deux heures justes pour diner. (Autogr. VIII, 98> 99-)

Ne vous attendez point à mon fils, je ne crois pas qu’il aille à Nantes qu’après les états. (Autogr. VIII, 4a.)

Je ne vous conseille point de jouer avec lui ?«’un jeu ordinairement médiocre. (Gr. VI, 5og.)

Dieu n’est point obligé de nous tirer de notre misère qu’autant qu’il lui plalt. (Gr. X, 544.)

Je ne l’accoutume pas (la princesse de Tarcnle) à lui rendre mes devoirs que tous les huit ou dix jours. (Gr. IV, 23o.) TVTltffïT TXT» Cnn-vin »»£ ou--