a74 r4 LEXIQUE DE LA LANGUE [QUE
Il ne faut point parler de changer d’officiers que quand vous aurez mon fils. (Autogr. VIII, 43.)
J’ai passé le commencement de cette année assez brutalement, sans vous dire qu’un pauvre mot. (Gr. III, 356.)
A minuit on assemblera les deux mariés pour les mener à la paroisse, sans que les pères et mères s’y trouvent, qu’en cas qu’ils soient alors à Versailles. (B. VIII, 3i.)
Il (M. de Monlerey) fatigue notre armée, et la met hors d’état de sortir et d’être en campagne qu’k la fin du printemps. (1736, III, 34^-)
Il est difficile de nous en consoler que l’année qui vient. (1726, II, 363.)
Point de fièvre, ^(’intérieure etimperceptible. (VIII, 267.) Je jurerois qu’il {Antonio) n’en guérira pas une (des religieuses de Chellcs) que selon les règles d’Hippocrate. (IV, 433.)
Je ne suis pas en humeur de parler bien, que de M. de Vardes. (vn, a39.)
Je doute que je puisse vous écrire qu’à Paris, où je compte arriver vendredi. (IV, 3o3.)
Il ne me dit pas une parole qu’en italien. (V, 46.)
Où trouverai-je un asile contre de tels ennemis qu’auprès de vous? (Ch. de Sévigné, X, 436.)
Dans la plupart de ces exemples, on se rend aisément compte de la tournure en suppléant devant que les mots autre, autre chose, autrement, ail.leurs, etc.
9° Quand, etc.
Je verrai demain, avant que de partir, ma nièce de Bussy, dont les tourières ont aboyé sur moi, que je n’étois pas encore abordée. (Autogr. VII, 279.)
La mort nous prend que nous sommes encore tout pleins de nos misères et de nos bonnes intentions. (B. V, 54i.) .)
Le petit fripon {le jeune marquis de Grignan). arriva. à sept heures du soir, jHejen’étoispas revenue de la ville. (VIII, 3o7.) On est souvent un fort honnête homme, qu’on n’est pas un trèsbon chrétien. (Gr. V, 344.)
« Quand on n’est pas, » ou plutôt « sans être, sans qu’on soit. » 8° QuE. NE, avant que
Ne venez point ici que vous n’ayez de mes nouvelles. (Autogr. 1, 371.)
90 De ce que
Nous faisions la guerre au bonhomme d’Andilly qu’il avoit plus
