Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 14-2.djvu/609

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VER] DES DIVERS CORRESPONDANTS. Goi

TRANSMIGRATION.

Je crains que la transmigration qu’il (Pabbé.Tétu) fera sans doute quelque jour, au sortir du quartier de Saint-Paul, où il va se loger, ne soit au quartier des incurables. (Coulanges, X, 166.) TRIOMPHE.

Le printemps paroît dans tout son triomphe. (Mme de Coulanges, X, a8o.)

La campagne est charmante; le rossignol et le vert naissant sont dans tout leur triomphe. (Coulanges, VII, 385.)

TROTTABLE, où l’on peut trotter

Après avoir donc trotté par des prairies que la saison rend trèstrottables. (Coulanges, X, 5i7.)

v

VALISE, ar figuré

Le bon duc (de Chaulnes) va toujours pesamment son chemin; mais il faut espérer que Vichy, s’il fait tant que d’y aller, dégagera sa valise, qui est assurément trop pleine, aussi bien que la mienne. (Coulanges, X, 37a.)

VAPEUR, vapeurs

Vous ne sauriez croire combien son mal (de Mme de Coulanges) me donne de chagrin, et combien il m’envoie de tristes vapeurs à la tête. (Coulanges, X, 162.)

VAQUER À

Monsieur le Cardinal [de Bouillon) a renoncé à toutes les nouvelles du monde, pour vaquer à lui-même. (Coulanges, X, 35g.) La comtesse (de Gramont) va tous les jours dîner à Marly, et le soir revient dans sa jolie maison vaquer à sa famille. (Mme de Coulanges, X, 5oo.)

Je vaque à un gros rhume qui m’a empêchée d’aller rendre mes devoirs à l’Intendance. (Mme de Simiane, XI, a la.)

VERSER, neutre, avec l’auxiliaire être

Je suis versée il y a trois jours dans mon carrosse. (Mme de Coulanges, X, 336.)