Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 6.djvu/568

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1680 donne les déjeuners à sept heures du matin ordonnât aussi qu’on eût de l’appétit. Que vous seriez aimable si par vos soins je vous retrouvois en meilleur état[1] que je ne vous ai laissée ! il me semble que je vous en aurois toute l’obligation, et que vous vous portez assez souvent comme vous voulez.

  1. 28. « Que ne puis-je espérer de vous retrouver, par vos soins, en meilleur état, etc. » (Édition de 1754.)

FIN DU SIXIÈME VOLUME.