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DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 263 IO. *-· DE MADAME DE SÉVIGNÈ ,67 I ,, A. MADAME DE GRIGNAN i. — A Paris, le jour de Noël, vendredi. Vont votre fille' au coin de mon feu, avec son pe- tit mzmteau clbuate. Elfe parle igiaisamment : et tzîfzzizz, tezita, y totata. _ ' Je souhaite fort que l`on soit content ici de M. de Gri- 16113.118; c`est une grande justice, puisqu°il ft fait tout ce qui peut faire. Mais rre ·l`·era-1,;-inl rien pour- ini, ou, pour mieux dire, les Proveuçaux ue lui feront-ils point queique màuitié i` Je ferai des merveilles à votre prési- dent ", et ufacquitterai fort bien des emplettes : mais je songe que voici bien des fêtes. _ _ Hélas E ma petite, vous dites bien vrai : au milieu Je Paris, je vous souhaite, je vous cherche, je lzmgnis, ct ne lltû ptuS accoutumer à ne VQHS avoir Pas. le Suis Lmzzmn to (fragments inédits). — Ir Ces fragments font partie de la lettre 231 (H, 446); la lettre entière se trouve dans notre A nlaanuserit, tome VI, pages 353 et suivantes; le Grosbois en contient es extraits. ' 2. Mariellâlàuxclie, .qu’on avait ramenée de Sucy depuis le retour de sa grand mere; voyez plus haut Ia note 18 de Ia lettre 5. 3. M. de Grignan avait eu à surmonter de grandes difficultés auprès de l’Assemblée des Communautés, qui avait refusé de voter la somme demandée par le Roi; voyez la lettre suivante, note 2. J 4. Ce président, Pt qui, sur la recommandation de salîlle, Mme e Sévïgné']1x·omettaît de faire « des merveilles xa, xfétaît autre, sans doute, que M. de Bouc, président au parlement de Provence, dont il est parlé au commencement de la lettre du T7 février suivant (lettre BÃQ, II, 5o4,note 1)., et qui, au grand regret de la marquise, manqua de se trouver à un très—bon dîner « donné en son honneur. »