Page:Sévigné Lettres édition Capmas 1876 tome 1.djvu/320

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30.$ LET’IÃB.E.S INÉDITES ` x 6 7 3 gGZ,· IDH bonne, q\1CjC 11,CIl ai PRS ICQ!] UDC (18 toutes les 3.\1i,I`€S (P18 VOUS II1’2lVl.€Z— éCI`llÃ6-È.` Pour moi, jê VOUS ai écrit partout; enfin, voici la onzième : ce seroit un vrai miracle si elles avoient toutes été jusqtfa vous°. Mon Dieu! votre assemblée et nos pétoH’es°, qu’est-ce que tout cela deviendra ?

Je conjure M. de Grignan de contribuer à_ votre conservatton, el; (l aV011‘ un peu cl amitie POU)? mot. Je Vous recommande aussi au Ccatljtllieur, si VOUS êtes encore à Salon". Ma bonne, je suis ·à vous.

Et votre petit pr0cês“, l’avez-vous gagné? L Abba:"’ vous prie d’avoir soin de vos aH`aires., Vous me remerCIICZ, l’3l.llZI`B jour, (IC VOUS ZIVOIP donne plus (PHDC 31]*

8. Toutes ces lettres, à Pexception d’une seule, se trouvent dans la correspondance publiée : ce sont les lettres 33o, 33:, 332, 334, ’ 335, 336, 337, 338, 339, et la lettre 3,£1,·—— la onzième, 1- dont nos Fragments font partie. ’

9. Expression provencale, qui signifie tracasseries, sujets de dispute, méchantes affaires, affaires ridicules ou désagréables, etc Dans le cas particulier, nos pétoffë: détaierit l’aff`aire des gardes lhiïhire du courrier, Paffaire du syndicat, et cl’autres encore sans doute du même genre. On rencontre déjà-ailleurs cette expression dans la correspondance cle Mme de Sévigné; voyez la lettre du T7 novembre 1673, note 7 (lettre 346, III, 276), et la lettre du ag décembre de la même année, note 5_ (lettre 365, IH, 339}, où le mot est absolument employé dans le même sens que dans notre pas- sage : c< Le Clzarnzant (le marquis de Villeroi) sait toutes nos pé- toffes. 1: Conférez, sur ce mot, le Lexique Je la languede Mme de Sévigné et lerûictiomzairc de la langue française de M. Littré, v° PÉ- crorrn. 1

10. Jolie petite ville des Bouches-du-Rhône, située sur le canal de Crapone, où l'archevêque d’Arles avait une résidence, et où il se trouvait alors avec son neveu le Coadjuteur. Salon dépendait du diocèse d’Arles. Voyez la note 7 de la lettre 343 (III, 265). 11. Il est question ailleurs de ce petit procès (lettre 343, avant- dernier alinéa, III, 265, note 6), qui fut gagné, â ce qu’il semble (voyez le commencement dela lettre 351, du 27 novembre suivant, IH, ago), maistlontïon ne connait pas l’objet.

12. L’abbé de Coulanges.