Page:Sévigné Lettres édition Capmas 1876 tome 1.djvu/321

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DE "MADAME DE SÉVIGNÉ. ,3,05 née‘°; hélas! ma bonne, plaignez—moi cle celles que ,6ê:; je ne vous donne pas : jamais je n’ai vu passer les i` jours avec tant de regret, et au moins je n`ai pas sur mon cœur davoir perdu, par ma volonté, 'une seule heure du temps que jlai pu être avec VOUS. 22. ——- nn miams DE sûvxonzu ~~—·· 1674 A MADAME DE GRIGNAN1. u A Paris, vendredi 12.** janvier. Jn me cloutois bien que vous xfaviez pas regardé mon ruban? : vous trouviez donc mon pauvre petit bille; bien ridicule? J`ai vu bien des manchons comme le votre à Saint-Germ0.in, mais pas une femme comme vous : bien des gens sont de cet avis. Je parlai à Vivonne ‘ 13. Mme de Sévigné, on l’a vu plus haut, était restée environ quatorze mois en Provence auprès de sa lille; voyez la note 2 de la lettre :0 ci-dessus. _ Lmrmz 22*(fIlB.g]'11CIlTS inédits). —-— 1*. Ces fragments font partie de la lettre 36g (III, 362); la lettre entière se trouve dans notrc manuscrit, tome IV, pages 9 et suivantes; le Grosbois en contient des extraits étendus. 2. Sans doute le ruban qui entourait le billet dont il est parlé dans la seconde partie de la phrase. C’était Pusage, on le sait, au dix-septième siècle, il’entourer les lettres d’un ruban; plusieurs ·· lettres de Mme de Sévigné se sont conservées avec le ruban qui les ‘ accompagnait. ` _ _ _ 3. Louîs~Victox· de Rochechouart, duc de Vivonne, frère de ~ Mme de Montespan; voyez la note 5 de la lettre :48 (H, 127). Il Mm: nn Sév. Lun. mên. 1 au