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Page:Sévigné Lettres édition Capmas 1876 tome 1.djvu/336

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amis. Ces trois hommes que je vous ai nommés ne songent qu’à faire valoir son camarade": c°est une liaison, une intelligence, une confiance! Quand on Songe au malheur que vous avez d’avoir Monsieur de Marseilllê, OI! VOUS Plülllli *2 VOUS êtes les g’CIlS du l’I1ODCl€f les plus dignes (l`être aimés. ,

Sa Majesté a donné à M. le duc du Maine"’ la charge des Suisses, qu’avoit M. le comte de Soissons : c`est M. de Louvois qui l°exercera.

25. — DE MADAME DE SÉVIGNÉ

A MADAME DE GRIGNAN.

A Paris, vendredi 26e janvier.

Vous avez reçu, ma bonne, votre congé le 20e ; il

I2. Sans doute l'évêque de Rennes, Charles-Ffmlçôlâ de la Vieuville, qui n’eut jamais en effet de démêlés avec le gouverneur de Bretagne et les autres représentants de l‘autorité royale dans cette province; voyez la note 3 de la lettre :02 (II, BI7). Nous avions cru d’abord à une erreur dans le texte, et qu’il fallait lire : « leur camarade (M. de Grignan) », au lieu de : « son camarade » ; mais la suite du passage repousse cette correction.

13Q Notre manuscrit, comme le Grosbois et comme Pédition de la Haye, porte le duc du Maine, et non Ie comte du Vexin, 00mmc l’ont imprimé. cl’après Perrin, les derniers éditeurs, qui ont sup- posé, in tort croyonsnous, une correction, bien peu vraisemblable, introduite dans le texte par Pécliteur hollandais ct par Pauteur du manuscrit. A la fin tle la lettre suivante nous trouverons un autre passage qui nous permettra d’expliquer la diversité que présentent sur ce point les sources.’Bornons-nous_à dire, pour le moment, que, selon touteprobabilité, c’est Perrin qui a mocliüé les deuxà textes, pour les rendre plus clairs et les faire mieux eoncorder avee,ce qui fut définitivement résolu; voyez la note I3 ile la lettre suivante. Lxrrrxua 25 (fragments inédits et passages restituée). — 1, Ces