` `V DE nxansmu DE s1îv1oNE. say suis touché, comme je le dois, des marques de bonté ——
que _] ai vues pour mol dans la lettre cle Madame votre
mère : vous ne doutez assurément pas de ma consi- E clémt1o11, HI cle ma reoonnoissance. Le cardinal ma Herz. _ 29. ······ DE MADAME DE ssvxess A MADAMÈ GBIGNAN1.
A Paris, vendredi 31° mm.
Eucone que je n°aime point que Vous soyez persuadée d°avoi1? quelque chose à vous rcproclir, je trouve que tout ce que vous me mandez vient (Yun si bon namrel et d‘une si grande amitié, que j'en suis sensiblement touchée. 1 _ Fieubets est cl1a1·mé de vous, et de la manière dont vous signâtes chez M. <l°Ormessou°, sachant très-bien Lmu-ma 29 (f'ragmcnts,;inédits)· —— x. Ces fragments font partie · de la lettre 403 (III, AGE); la lettre entière se trouve élans notre manuscrit, tome IV, pages 317 et suivantes; le Grosbois xfen com- . tient aucun extrait. C·’est dans les fragments inédits de cette lettre ' quil est fait mention pour la première foissdu procès de Bellièvrs, dont il est si souvent parlé dans la suite de In correspondance. 2. Gaspard Fieubet, conseiller d’État, et poete à ses heures; voyez la note 3 de la partie imprimée de notre lettre (III, 46:). 3. Olivier le Fèvre d'Ormess0n, dont on a, publié des Mémoires, et qui montra un caractère si în<lépendm1t dans I’afIl1ire Fouquet; voyez la note 6 de la lettre 57 (I, 448 et 449). ~ MME DE Sfcv. Lem. mém. 1 22
