os MADAME DE siâviour. asi serve sa pauvre tête comme il peut. Sa femme" est "I G"? d'une dévotion qui surpasse la ViIlars’°. Ou vous fait aussi mille amitiés du i`aubourg"‘°. :“: M,. d°Hacqueville vous inandera comme se trouve Son Éminence", dans sa retraite; je ne l°ai point vu depuis les lettres qu’il a reçues. N`avez-vous point vu ` la Simianeü. et, la très—sage et très—l1onnête Mme du Rousset za? Ou avez-vous pris un cocher? celui de l\Ion~ sieur le Cardinal étoit tout prêt “". ' q J `embrasse vos petites mies"’“ et le petit marquis. Adieu, ma très-chère et très-aimable bonne. M. de Coulanges demande pardon de vous avoir si . maltraitée pour ce livre N. Voilà une aimable chanson; · mais il faut que M. de Grignan la gouverne : vous aurez des airs de 1`opéra. Votre ballot partira bien- tôt; vous aurez vendredi votre petite perruque, Eest- à-dire elle partira cl°ioi. marquis de Villars. Il avait été blessé à Ia. tête au siege de Besan— oon; voyez la note 3 de la lettre 381 (III, .508). = 18. Voyez la note I2 dela. lettre 136 (II, 71). ig. Voyez plus haut Ia note xx de la lettre rx. 20. De chez Mme de la Fayette; voyez plus haut la note 3 de la lettre tg. · 2:. Le cardinal de Retz; voyez les notes 8 et g ci—dessus. 22. Madeleine Hay du Chastelet, marquise de Simianc, dont le fils épousa plus tard Pauline de Grignan. ¤-5 23. Mme du Rousset était sans doute une parente par alliance de Mme de Simianct voyez tome XI, 'page 30, notes 1 et 3, et page zoo, note 2. __ gif. Voyez plus haut, lettre So, note 21., et plus bas, lettre 34, note 3. p 25. Marie-Blanche et Pauline. 26. S’agit-·iI d’un premier recueil de chansons, publié, sous le voile de Panonyme, par Philippe-Emmanuel de Coulanges, que l’auteur ne se serait pas assez hâte d’envoyer à Mme de Grignan P Et dans la phrase suivante, s’agit-il encore dlune chanson du même auteur?
Page:Sévigné Lettres édition Capmas 1876 tome 1.djvu/367
Apparence