332 LETTRES INÉDITES -6--; semble, de onze ou douze cents francs. (Test cela .qui I • o o · " ' _ : 1 seroit Joli! mais cet aceommodement; dependlle Plu- sieurs choses°. Ma très-chère, que vous dirai-je P Je ne Hnirois pas, si je voulois vous dire comme vous êtes dans mou cœur; vous Savez ce qui accompagne çïordîuaire la tendresse de ce discours, et vous ne voulez pas q\1’OD y appuie. ‘ " J attends de vos nouvelles avec ID] at1e11ce· e sens É) I I A le chagrin que vous avez de quitter votre chateau, et votre liberté, et votre tranquillité : le cérénzoniasw est un étrange livre pour vous *. M. d`Hacqueville a des soins de vous admirables : il n`y a pas de service que vous puissiez desirer d’un ami, pendant votre assem- blée, qu’il ne vous rende beaucoup mieux que per- sonne “. "‘ Adieu, ma très-chère et trop bonne et trop ai- mable; je suis entièrement à vous, et vous embrasse de tout mou cœur, avec une tendresse infinie. Si M. de Grignan a, le loisir de s’app1·ocI1er, je l'embrassera1 aussi, et lui demanderai des nouvelles de sa sauté", et de ses consuls"; je lui répondrai de la défaite entière Conz—Snm·bruck, et dont on ne ut retrouver le cor 5; vo ez _ P P _ }'_ la lettre 437., 4** alinéa (IV, roo et 101), la lettre 438, clermer ali- néa (IV, 107], et la lettre 440, ac alinéa (IV, 112 et 113). g. Voyez un autre projet de Mme de Sévigné pour Mlle de Méri, dans Ia lettre du 13 novembre suivant (lettre 567, 4* alinéa, IV, 228). ro. Perrin, qui il reproduit ce petit passage , a substitué t cé- rémonial » à cérëmorzias, qui se lit très-nettement dans notre manuscrit, et que Mme de Sévigné avait fort bien pu mettre par forme de plaisanterie. rr. Sur les services que Pabbé d’Haequevî1le et M. de Pompone rendaient à·M. de Grignan, voyez 'VValc1te¤acr, Mémoires, tome V, pages 332 et 333, et conférez. ci-après la lettre 41, note 2. 12. C’cst-à—dire des nouvelles de Passemblée, où les commtmau- tés étaient cl’0rdinuirc représentées par leurs consuls. —-En 1640,
