Page:Sade - Aline et Valcour, ou Le roman philosophique, tome 1, 1795.djvu/15

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AVIS
DE
L’ÉDITEUR




C’EST avec raison que l’on peut regarder la collection de ces lettres comme un des plus piquans ouvrages qui ait paru depuis longtems ; jamais, on peut le dire, des contrastes aussi singuliers ne furent tracés par le même pinceau, et si la vertu s’y fait adorer par la manière intéressante et vraie dont elle s’est présentée, assurément les couleurs effroyables dont on s’est