Page:Sade - Aline et Valcour, ou Le roman philosophique, tome 4, 1795.djvu/129

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sant ! faites que ce ne soit pas sur une croix de douleur que la malheureuse Sophie parvienne aux pieds de votre trône[1].


LETTRE L.


Madame de Blamont à Valcour.


Paris, ce premier février.



Je vous envoye deux lettres bien différentes que je viens de recevoir à-la-fois et toutes deux m’affligent dans des sens bien contraires ; l’une est baignée de mes larmes, elle fera sûrement couler les vôtres ; la seconde… hélas ! je n’en parle point, lisez-la. Eh bien ! devons-nous douter maintenant-

  1. Les deux lettres qu’on vient de lire étaient incluses dans la suivante.