Page:Sade - Aline et Valcour, ou Le roman philosophique, tome 4, 1795.djvu/220

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qu’elle doit être délicieuse à saisir dans les pleurs… Sophie était bien, mais Aline,… et puis nous n’irons jamais aussi loin avec celle-ci qu’avec l’autre… Il est une sorte de ménagement qu’on doit à la vertu,… au sang… Cependant ne jurons de rien, car les effets de l’égarement dans des têtes comme les nôtres, sont, tu le sais, incalculables.



Fin de la septième partie.