Page:Sade - Aline et Valcour, ou Le roman philosophique, tome 4, 1795.djvu/256

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affreux qui séparait ma vie ; toutes les horreurs que j’entrevoyais au-delà, s’avancent à moi sous la faux de la mort… l’ange des ténèbres entr’ouvre le cerceuil, et votre malheureuse Aline n’a plus qu’un pas pour y descendre.


LETTRE LXVII.


Déterville à Valcour.[1]


Vertfeuille, ce 6 mai.



Ils ne sont plus ces jours heureux où ma main occupée à te transmettre des faits intéressans, passait les jours entiers à dissiper tes peines, en t’amusant des mêmes

  1. Toutes les suivantes, excepté la dernière, étaient sous la même enveloppe.