Page:Sade - Aline et Valcour, ou Le roman philosophique, tome 4, 1795.djvu/41

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

blablement comme nous. Adieu, mon cher Valcour, tu as dû être content de moi cet été ; il était, je crois, impossible d’entretenir une correspondance plus suivie et plus détaillée ; n’en attends plus rien, nous partons pour Paris, et ce ne sera bientôt plus que de vive voix que nous nous entretiendrons ensemble.


LETTRE XL.


Valcour à madame de Blamont.


Paris, ce 30 Novembre.




Après avoir reçu tant de nouvelles intéressantes de votre terre, madame, c’est à moi à vous en donner de Paris. Je me rendis hier chez monsieur de Beaulé, où j’eus l’honneur de saluer monsieur et madame la comtesse de Kerneuil. Tous deux