tion, M. du Closel, père de deux jolis enfants,
l’un un garçon de 14 ans, l’autre une fille de 15,
accueille par pitié chez lui un moine dont les
circonstances viennent de rompre les vœux. Il
le reçoit chez lui, lui confie le maniement de ses
affaires et l’éducation de ses enfants. Le père
Casimir, qui prend le nom de Desmarets, n’est pas
plus tôt dans cette place qu’il vole son patron,
corrompt les enfants.....
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la jeune fille expire dans ses couches. Du Closel
éclairé veut sévir contre Desmarets, mais celui-ci
qui, sans que son patron l’ait su, est devenu
membre d’un comité révolutionnaire, fait guillotiner
du Closel et jouit des débris de sa fortune.
(Boccace, à faire, érotique).
Je le crois fait. S’il l’est, il servira. Voici à peu près le plan.........................
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L’auteur de cette note n’étant mort qu’en 1985, le texte est sous droit d’auteur et n’est donc pas reproduit. (Note de l’éd.)