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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 1, 1797.djvu/358

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porte sur la douleur, et que notre innocente décharge… La putain a donné du foutre, dit Rombeau ; je m’en suis apperçu au resserrement de son anus ; je le léchais pendant ce tems-là… Oui, il y a du foutre, dit mademoiselle Rodin, j’en ai les doigts mouillés ; et la garce les suce, en baisant Justine sur la bouche. Mon enfant, dit Rodin à cette charmante fille, je suis fort content de ce que vous venez de faire ; croyez-moi, continuez d’être de la plus extrême complaisance avec nous ; peut-être regagnerez-vous, par ce procédé, ce que vous ont fait perdre vos sottises. Ah ! triple Dieu ! comme elle est belle dans ce mélange de plaisir et de douleur ! Oh ! monsieur, qu’exigez-vous donc de moi, dit Justine ? — Rien que nous ne puissions obtenir de force, et rien qui, je vous le répète, n’adoucisse votre sort, si vous nous l’accordez de bonne grâce : par exemple, à présent nous voulons que vous branliez ma sœur avec la langue ; elle va se poster de manière à vous offrir à-la-fois et son con et son cul ; Rosalie lêchera le cul et vous le con. Il fallut obéir ; y avait-il moyen de résister à des demandes si faciles à changer en ordres. Le tableau s’arrange ; Rodin, pour en com-