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sacre, tempête, se jette sur elle et l’encule ; il arrange si bien pendant cette opération les petits garçons et moi au-dessus des reins de sa déesse, que nos trois culs se trouvent grouppés sur son visage, et qu’il peut baiser indistinctement l’un et l’autre. J’étais émerveillée, je l’avoue, de la manière leste dont Zanetti, sans sourciller, soutenait dans son cul l’introduction de ce membre énorme ; la garce n’avait pas bougé ; l’Italien sacrait, allait venait et faisait sentir ses dents sur nos fesses ; il se retire, le grouppe se défait, et il nous considère avec des yeux où se peint la plus cruelle luxure ; il se couche sur le canapé, le visage dans les fesses de son amante dont il tette l’anus, et nous ordonne dans cette posture de venir le branler quelques instans, chacun à notre tour, en observant de baiser son vit, de lécher ses couilles et de lui enfoncer trois doigts dans le cul. Son membre s’anime si prodigieusement à ce jeu, que je crois qu’il va perdre son foutre ; mais parfaitement maître de lui il se contient, se relève, demande des verges et nous fouette tous les quatre à tour de bras ; nous en recevons au moins deux cents coups chacun. Cette opération faite, il me