Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 10, 1797.djvu/210

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le plus délicieux de tous ; elle m’ajouta, qu’elle portait ses manies au dernier degré, et qu’elle ne déchargeait jamais aussi délicieusement que lorsqu’elle s’y abandonnait. Elle desira d’autres filles : il en vint sept ; après s’être branlée avec toutes, elle sortit de sa poche un godmiché, comme je n’en avais encore vue de ma vie. Cet outil singulier avait quatre têtes : elle commence par s’en enfoncer un dans le cul, et me sodomise avec l’autre. Nous étions dos-à-dos : les deux autres têtes de cet instrument étaient recourbées ; nous nous les enfonçâmes dans le con. Nous avions, dans cette attitude, chacune une fille entre nos jambes, qui suçaient nos clitoris, et qui remuaient artistement la machine. Il nous restait cinq autres filles à employer : deux donnaient le fouet à celles qui nous suçaient, deux élevées sur des chaises, nous faisaient teter leurs cons, et la cinquième présidait au total, et parcourait les rangs pour que tout s’exécutât dans la plus grande règle. Nous luttâmes ensemble ; et après avoir épuisées nos sept femmes, nous être fait mettre les fesses en sang, Zatta voulut se venger sur nos fouetteuses ; nous les déchirâmes impi-