Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 10, 1797.djvu/22

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

bras, nous nous polluons avec ardeur, elle suce ma bouche et mes tetons, et comme je la branle délicieusement, la tribade se pâme vingt fois. Nous nous entrelaçons l’une sur l’autre, en sens contraire, de manière à pouvoir nous gamahucher réciproquement ; nos langues chatouillent le clitoris, et un doigt libertin effleure et les trous du cul et les cons ; nous nous inondâmes de foutre, et certes toutes deux avec des pensées bien diverses : enfin, Charlotte en feu desire du libertinage, elle appelle, elle veut d’abord que tout soit dirigé sur moi ; la femme grosse, sous ma main droite, est offerte à mes vexations ; la jeune fille, à califourchon sur ma poitrine, me fait à-la-fois baiser le con le plus frais et le plus charmant cul. Charlotte excite les vits et me les enfile elle-même. Je rafole de l’idée d’avoir une reine pour maquerelle, dis-je à Charlotte ; allons, putain, fais ton métier ; mais des engins de la taille de ceux que Ferdinand nous procure, ne sont pas faciles à recevoir ; et quelques frayés que soient mes appas, il m’est impossible d’endurer, sans préparation, des attaques aussi monstrueuses. Charlotte humecte les voies, elle frotte les bords de mon