Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 10, 1797.djvu/329

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sur une ottomanne, Phriné s’asseoit à mes côtés, prend ma tête sur son sein, et me branle le clitoris. Aucune femme ne s’acquitte de ce devoir comme celle-là : son exécution savante ; ses coups de doigts lascif ; elle baise et carresse singulièrement le derrière, sa langue, quand je le veux, chatouille l’anus à merveille ; ses mouvemens, au mont de Cypris, s’accordent étonnamment bien avec ceux de l’autre temple, qu’elle suce délicieusement quand on veut. Pendant qu’elle agissait, Laïs, huchée sur ma poitrine, venait, en s’acroupissant sur ma bouche, me faire sucer son joli con ; Théodore me branlait le cul, et la belle Aspasie rapprochait Fontanges du spectacle, en l’obligeant d’y fixer les yeux, et la branlant pour adoucir ses maux. Est-ce que vous n’avez jamais fait la même chose avec vos compagnes, lui demandait Aspasie ? — Oh jamais ! — C’est impossible, disais-je, tout en suçant le cul de Laïs, je sais qu’on se branle beaucoup au couvent… j’avais déjà troussées toutes mes compagnes à votre âge. Puis quittant le con que je suce, venez me baiser, lui dis-je ; elle avance ; je la dévore. Déshabillez-là donc, dis-je à mes