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femmes ; et l’attitude se rompt un moment pour quitter, toutes à-la fois, les incommodes vêtemens qui gênent mes plaisirs. Toutes les cinq sont en un instant aussi nues que moi. Dieu, que Fontanges était belle ainsi ! que de blancheur ! quelles proportions ! Allons, dis-je, qu’on la place sur moi, de manière à ce que j’aie son petit con sur mes lèvres. Vous, Aspasie, vous saisirez le cul qu’elle vous offrira par cette posture, et vous lui langotterez l’anus. Phriné, vous lui branlerez le clitoris, de manière à ce que le foutre qu’elle exhalera, vienne distiller dans ma bouche : je vais écarter mes cuisses ; vous, Théodore, vous gamahucherez mon con ; et vous, Laïs, vous lécherez le trou de mon cul. De grace, mes belles amies, mettez en usage tout ce que vous savez ; usez de toutes vos recherches, car cette petite fille m’excite beaucoup, et je veux perdre, pour elle, infiniment de foutre.

Je n’ai pas besoin de vous peindre tout le plaisir que je devais retirer de cette voluptueuse scène : j’étais dans l’ivresse. Enfin, la volupté s’empare de la jeune Fontanges ; elle ne peut résister aux délicates sensations dont elle est enivrée. La pudeur le cède au plai-