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choix dans celui de ces quatre culs qui lui convenait le mieux ; les trois autres s’offraient à ses baisers ; on les enculait pendant ce tems-là, et deux filles se plaçaient sous leurs mains ; une autre plus âgée ne devait pas quitter les flancs du moine qui agissait, afin de le servir dans ses opérations, et principalement dans l’acte sodomite, où son devoir alors était d’humecter le vit avec sa bouche, et de l’enfoncer elle-même dans le cul présenté.

Severino commence : c’est la plus jeune qu’on offre à sa passion ; le scélérat lui pince les fesses d’une si terrible force, qu’elles sont toutes noires au sortir de ses mains ; il se réfugie dans le cul d’un bardache ; on l’encule, il baise, et touche indistinctement tout ce qui se présente à lui ; cul, con, gorge, tout est égal à sa luxure ; l’homme passioné n’y regarde pas de si près ; il veut perdre son foutre ; pour y réussir, tout est bon, et le supérieur y parvient.

Clément le suit, c’est la jolie fille de quinze ans qu’on livre à ses fureurs ; le scélérat se sert d’une poignée d’épines ; il en frotte vigoureusement tout le corps de cette malheureuse, et mouille ensuite avec du vinaigre les ampoules qu’il vient d’élever ; il se jette