Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 2, 1797.djvu/273

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et son foutre échappe malgré lui ; c’est une charmante femme de vingt ans qui l’avale.

Octavie passe à Jérôme : on lui piquait les fesses avec une aiguille ; deux jolies filles le branlaient, l’une par devant, l’autre par derrière, pendant qu’une quatrième, âgée de seize ans, lui pétait dans la bouche. Que de blancheur et que de grâces ! dit-il en touchant Octavie ; ô divin enfant ! quel beau cul ! Il le compare un moment à celui qui lui pète au nez, l’un des plus délicieux du sérail, En vérité, dit-il, je suis incertain ; puis, imprimant sa bouche sur les attraits que ses yeux confrontent : Octavie ; s’écrie-t-il, tu auras la pomme, il ne tient qu’à toi ; donne-moi le fruit précieux de cet arbre adoré de mon cœur ; oh ! oui, oui, chiez toutes deux, et j’assure à jamais le prix de la beauté à qui m’aura servi plutôt. Octavie, confondue, ne peut concevoir un tel ordre ; sa pudeur motive son refus ; l’autre souscrit, Jérôme bande, les fesses d’Octavie sont vigoureusement mordues, et la novice passe à d’autres outrages.

Ambroise enculait une pucelle de quinze ans, on lui chiait dans la bouche, il maniait deux culs ; Octavie l’approche, sans qu’il se dérange. Donne-moi ta langue, putain, lui