Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 2, 1797.djvu/312

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que votre tête-à-tête vient d’allumer en moi ; donnons-nous tous également des torts, et nous n’aurons plus rien à nous reprocher. Vous voyez quels sont mes droits ; je vous surprends, je serai cru ; vous ne pouvez alléguer que des mots, j’aurai des faits à présenter, et sans attendre la réponse de Sulpice, je commence à m’emparer de Joséphine, qui, après quelques résistances vaincues par mes menaces, m’abandonne son charmant petit cul, et c’est en vérité tout ce que j’en veux. J’étends cette jolie petite fille sur le corps nu de son frère, qui, la saisissant dans ses bras, lui introduit son petit engin dans le con, et glissant le mien dans le cul de la pucelle parfaitement présenté par l’attitude, je lui cause des douleurs si violentes, qu’elle oublie le plaisir où veut la plonger son amant ; elle n’y tient pas, je la déchire ; elle se retourne, et de la secousse fait sortir mon engin du gîte ; elle saignait, rien ne m’épouvante ; ce n’est pas un vit comme le mien que la commisération désarme ; je la reprends au vol, je la refixe sur l’outil de Sulpice toujours prêt à la renclouer ; je lui redarde mon vit au derrière ; ma main, cette fois, fixe ses hanches ; je lui frappe les fesses à grands coups de poing dans la colère