Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 2, 1797.djvu/314

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mais été perforé que par un membre fort inférieur au mien ; je l’enfile, et veux que mon élève m’encule pendant ce tems-la. On n’a pas d’idée de la manière énergique dont ma petite putain déchargeait ; je la sentis trois fois se pâmer dans mes bras, pendant que je dévorais sa bouche ; je l’inonde, je reçois de la semence, et, tous trois épuisés, nous retombons sans mouvement sur un canapé, auprès duquel, par mes soins, une ample colation nous restaure bientôt. Nous n’avions plus la force de foutre ; mais il nous restait celle de nous sucer. J’exige ce service de Joséphine ; et, pendant que sa jolie bouche me savoure, mes lèvres pressent le vit énervé de Sulpice ; je maniais les deux culs par la posture que j’avais choisie ; mon élève socratisait le mien ; sa sœur chatouillait les couilles ; j’obtiens du foutre, j’en donne, Joséphine décharge encore une fois, et, vivement pressés par l’heure, nous nous séparons, en nous promettant bien de recommencer incessamment une scène, dont mes novices me pardonnent enfin l’invention.

Je fus assez heureux pour masquer un an cette double intrigue, pendant laquelle il ne fut pas de jour pu nous ne célébrassions nos