ne doit pas disputer des goûts. — Eh bien ! monsieur, je vous plains d’en avoir de pareils, et vous proteste en même-tems que je ne les servirai jamais. Malheureuse fille, tu ne savais pas à quel point tes refus enflammaient cet insigne libertin ! Verneuil passe promptement de la luxure à la rage : allons, dit-il, puisque la séduction ne produit rien, il faut au moins que la force me satisfasse ; tournes-moi ce cul qui m’enflamme ; le vilain le claque, le baise, le mord, et ordonne à Justine de chier… La tremblante victime obéit ; au fait de toutes ces paillardises elle croit appaiser son persécuteur, en le satisfaisant. Verneuil analyse l’étron, il le respire, et l’avale… Charmante fille, dit-il en se relevant, vous venez de me faire goûter un plaisir délicieux pour moi ; il en est peu qui me flatte davantage. Je l’avoue, j’aime la merde à la folie, mais je me croirais redevable envers vous, si j’avais reçu sans rendre ; ayez donc la bonté de prendre ma place, je vais m’établir à celle que vous quittez ; ce que vous m’avez donné, Justine, vous le recevrez de moi ; vous mangerez ma merde comme j’ai mangé la vôtre. — Grand Dieu ! mon cœur se soulève. — Oh !