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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 4, 1797.djvu/349

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mus, aux plus exécrables tortures dont jamais la cruauté la mieux réfléchie ait souillé les annales de la terre. — Mon père, dit Zulma, que son frère branlait cette fois, souviens-toi que tu m’as promis de me faire sucer la moëlle de ses os, et de me faire avaler son sang dans son crâne. — Je te le promets encore, dit Dolmus, et cela, pendant que ton frère et moi mangerons ses fesses. Ici Volcidor fait voir à son père qu’il bande puissamment ; et Dolmus présentant le cul, se fait incestueusement limer quelques minutes. Cardoville remplaçant Volcidor, s’approche de Zulma, et lui suce alternativement la bouche et le clitoris, pendant que Nicette, se remettant en train avec Brumeton son frère, branle des vits, en baisant les fesses d’un nègre. — Eh bien ! dit Dolmus, revenu à l’examen de Justine, Saint-Florent n’avait-il pas eu raison de nous dire que cette garce avait un beau cul ? Et il le mordit en disant cela. — Oui, sacre-Dieu, dit Cardoville en revenant à son ami ; oui, foutre-Dieu, la putain a le plus beau cul qu’on puisse voir ; il est urgent de nous amuser de cette prude. — Voici comment, répondit Dolmus ; il faut que nous l’entourions tous ; que chacun adopte ensuite une partie de son corps,